Le président de Renault a reconnu lundi soir s'être "trompé" à propos de la présumée affaire d'espionnage qui a touché le constructeur automobile. Mais, a ajouté Carlos Ghosn au 20heures de TF1, selon "les conclusions du procureur de la République de Paris, il semble nous avons été trompé".
La patron du groupe a assuré que les dirigeants "assument la situation".
Pour autant, Carlos Ghosn n'a pas présenté sa démission. Il a expliqué avoir été "appuyé à l'unanimité" par le conseil d'administration extraordinaire qu'il a réuni lundi à propos de cette crise que traverse le groupe. Il a "présenté un plan d’action avec des mesures à court et moyen termes".