
Retrouvez toutes les informations sur les attentats qui ont frappé Barcelone et Camprils le 17 août 2017.
Retrouvez toutes les informations sur les attentats qui ont frappé Barcelone et Camprils le 17 août 2017.
Gabriel Colomé, professeur de sciences politiques à l’Université autonome de Barcelone et ancien élu de la ville catalane, explique sur Europe 1 vendredi que le souvenir des attentats en Catalogne est resté intact pour les riverains des Ramblas.
L'Espagne a rendu hommage vendredi aux victimes des attentats qui ont fait 16 morts à Barcelone et Cambrils, en août 2017.
Un an après les attentats en Catalogne, des proches de victimes et des officiels ont déposé des fleurs sur les Ramblas de Barcelone jeudi.
Un an après les attentats meurtriers en Catalogne, les autorités ont annoncé qu'il n'y avait aucune preuve permettant d'établir une connexion avec des groupuscules étrangers.
Selon le quotidien espagnol "La Razón", ces images ont été récupérées dans les décombres d'une maison située à Alcanar où le groupe confectionnait des explosifs.
Arrêtés mardi en France, les deux hommes relâchés mercredi, "en l'absence d'éléments les impliquant", a indiqué une source judiciaire.
Selon la justice espagnole, un Marocain aurait fourni des papiers d'identité à des membres de la cellule responsable de la mort de 16 personnes en août, en Espagne.
Le gouvernement espagnol a refusé de commenter cette information, donnée jeudi par un quotidien catalan.
Des investigations sont en cours pour déterminer pourquoi les auteurs de l'attaque de Cambrils se trouvaient en région parisienne une semaine avant les attentats en Catalogne.
En mai, les services américains de lutte contre le terrorisme avaient prévenu leurs homologues espagnols d'un risque élevé d'attentat sur la Rambla à Barcelone.
Une femme de 51, de nationalité allemande, a succombé à ses blessures, dix jours après l'attentat de Barcelone.
Des dizaines de milliers de personnes ont à défilé contre le terrorisme, après les attentats qui ont fait 15 morts.
Alors que le traumatisme de l'attentat qui a fait 15 morts sur la Rambla est toujours vif, les Barcelonais défilent samedi pour montrer l'unité de la ville face au terrorisme.
Cette marche a été organisé dans la cité balnéaire où une femme a été tuée dans une attaque djihadiste, quelques heures après les événements de Barcelone.
Selon une source de la Généralité de Catalogne, un policier belge avait officieusement prévenu un policier catalan du caractère suspect d'Abdebaki E.S, cerveau présumé des attentats.
Quatre hommes suspectés d'avoir participé aux attentats en Catalogne avaient été présentés à un juge en charge de l'enquête mardi et mis en examen.
Le deuxième cadavre identifié de l'explosion d'Alcanar est celui du frère de deux autres membres présumés de la cellule djihadiste soupçonnée d'avoir commis les attentats en Catalogne la semaine dernière.
Agusti, un habitant de Subirats, a repéré Younes A. lundi, un jeune homme qu'il a décrit comme "fatigué", "peut-être était-il drogué ou ivre" au micro de BFMTV.
Des médecins urgentistes et des psychologues de Toulouse ont rendu visite aux victimes françaises des attentats en Catalogne, toujours hospitalisées à Barcelone.
Abdelbaki E. S. a séjourné en 2016 dans la grande banlieue de Bruxelles, selon les autorités, et a tenté d'obtenir un emploi d'imam à la mosquée de Diegem.
Une manifestation pour protester contre le terrorisme, mais aussi contre la montée du discours anti-islam, a réuni quelque 200 musulmans à Grenade mercredi soir.
Aux yeux de la justice, l'imam soupçonné d'avoir endoctriné les auteurs des attentats en Catalogne ne présentait pas, en mars 2015, une "menace réelle et suffisamment grave pour l'ordre public".
Le gouvernement espagnol a décidé samedi de maintenir le niveau d'alerte antiterroriste à 4 sur 5 après le double attentat perpétré jeudi et vendredi derniers.
La police catalane est critiquée pour la façon dont elle a mené l'enquête sur l'explosion de la maison d'Alcanar, lieu de réunion de la cellule terroriste qui a fait quinze morts la semaine.
Les enquêteurs cherchent à savoir pourquoi certains des auteurs des attentats en Catalogne sont "montés à Paris et ce qu'ils ont fait en région parisienne".
Le gouvernement français s'est engagé mardi à offrir aux victimes françaises des attentats commis en Catalogne la semaine dernière les mêmes droits que celles d'attentats commis en France.
La justice espagnole a ordonné mardi la détention de deux des suspects des attentats en Catalogne et la remise en liberté, sous contrôle judiciaire, d'un troisième homme.
Les quatre hommes présentés mardi à un juge en charge de l'enquête sur les attentats qui ont fait 15 morts jeudi et vendredi ont été mis en examen.
L'un des quatre suspects encore en vie a confirmé mardi que la cellule préparait un attentat plus important que les deux attaques de Barcelone et Cambrils.
La police fédérale suisse a indiqué qu'au moins un des terroristes présumés des attentats en Catalogne aurait passé une duit dans un hôtel de Zurich en 2016.