Arielle Dombasle était mercredi l'invitée de Philippe Vandel dans "Culture-Médias". 0:50
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Laetitia Drevet
Arielle Dombasle et Nicolas Ker signent ensemble leur deuxième album, intitulé "Empire". Mercredi dans "Culture-Médias", la chanteuse est revenue sur cette collaboration et sur les précédentes. "J’aime les gens qui m’éblouissent", confie-t-elle au micro de Philippe Vandel. 
INTERVIEW

Arielle Dombasle est de retour dans les bacs. Elle vient de publier son onzième album, intitulé Empire, écrit et composé avec Nicolas Ker. Il s'agit là de leur deuxième collaboration, après La Rivière Atlantique, sorti en 2016. "Notre duo, c’est de la nitroglycérine", confiaient-ils à l'Obs la semaine dernière, s'identifiant à ce composé chimique hautement explosif. La chanteuse était l'invitée de Culture-Médias, mercredi sur Europe 1. 

"J’aime les gens qui m’éblouissent"

"J’aime les gens qui ne sont pas dans un chemin tout tracé", confie Arielle Dombasle au micro de Philippe Vandel. Philippe Katerine, Chilly Gonzales, Nicolas Ker... La chanteuse a collaboré avec des artistes souvent considérés comme plutôt déjantés. "Ça ne m'intéresse pas les produits marketing, les faux albums de rencontre. J’aime les gens qui m’éblouissent. Je vais vers eux, ils viennent vers moi...", raconte-elle. 

L'album d'Arielle Dombasle et Nicolas Ker est un disque de rock très mélodique, "proche de The Cure ou de Joy Division", précise la chanteuse. Nicolas Ker a cette fois presque tout écrit en anglais, à l'exception d'un titre. Des chansons, mais aussi des "combats", dans lesquelles Arielle Dombasle revendique notamment sa fibre écologiste. "C'est aussi tragique que véridique", chante-elle dans We Bleed for the ocean. Le duo sera en concert dès le mois de septembre, à la Maroquinerie, à Paris.