Spotify : Eux, c’est le son (II)

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Rédaction Europe1.fr , modifié à
Un logiciel à télécharger, des coupures publicitaires pour les utilisateurs de base, mais un son quasi-parfait : voilà les principales caractéristiques de Spotify.

C'est le plus "sélect" de tous les sites de musique en ligne : pour accéder à Spotify, il faut montrer patte blanche, et disposer d'une invitation - ou à défaut s'inscrire sur une liste d'attente, dont les délais d'attente restent raisonnables. Malgré cette particularité, Spotify est le service qui monte : fondé par deux Suédois et lancé en octobre 2008, le site affirme disposer d'un catalogue de "plusieurs millions" de titres, et continue à ajouter des milliers de titres : 328.834 titres ont par exemple été ajoutés entre le 5 septembre et le 14 septembre.

Grande particularité du site : la qualité du son diffusé. La version gratuite du site est encodée à 160 kbit/s, là où la plupart de ses concurrents se contentent d'une qualité de 128 kbit/s.

Comment ça marche ? Spotify ne fonctionne pas sur un site Internet, mais via un logiciel. Il faut donc télécharger une application, puis l'installer. La version gratuite est coupée de publicité, une gêne qui disparaît sur la version payante (10 euros par mois).

Le plus : De nombreux titres disposent de descriptions issues de la base de donnée Allmusic, très complètes. Idéal pour découvrir la bio d’un artiste en l’écoutant. - attention, anglais obligatoire !

Le moins : Dans la version gratuite, la publicité est très présente. L'écoute d'un seul album peut entraîner la diffusion de trois tranches de publicité.

> Retrouvez l'intégralité de ce banc d'essai :

Deezer : De la gratuité et de l’éditorialisation (I)

Spotify : Eux, c’est le son (II)

Last.fm : le communautaire (III)