Last.fm : le communautaire (III)

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Rédaction Europe1.fr , modifié à
Des recommandations et des statistiques à gogo : Last.fm scanne toutes vos écoutes, s’en souvient et … vous conseille.

Artistes les plus joués, morceaux les plus joués, albums les plus écoutés … : tout, tout, tout, Last.fm saura tout de vous, si vous l’adoptez. Last.fm, webradio de sept millions de titres, et service de recommandation, repose sur le principe suivant : "Dis-moi ce que tu aimes écouter, et je te ferai des conseils personnalisés".

Comment ça marche ? Comme dans le cas de Spotify, le produit phare de Last.fm est … un petit logiciel à télécharger et à installer sur son ordinateur. Une fois votre ordinateur équipé, ce petit programme scanne tous les titres que vous écoutez, y compris, si vous le souhaitez, sur un baladeur audio. Il s’en sert pour vous faire des recommandations.

Le site est devenu payant en mars 2009 : les utilisateurs doivent désormais s’acquitter d’un abonnement mensuel de trois euros, ou se contenter d’une version de démonstration leur permettant l’écoute de trente titres. Last.fm revendiquait, avant son basculement vers le modèle payant, 30 millions d'utilisateurs mensuels.

Le plus : Les découvertes, évidemment. Des fans de Yann Tiersen à ceux de Britney Spears, vous avez la possibilité de choisir des amis, dont vous pourrez suivre les écoutes et les goûts.

Le moins : L’outil peut être complexe à appréhender, et le nombre d’utilisateurs a chuté depuis le basculement vers le modèle payant. L’équation est simple : moins de profils, égale moins de découvertes.

> Retrouvez l'intégralité de ce banc d'essai :

Deezer : De la gratuité et de l’éditorialisation (I)

Spotify : Eux, c’est le son (II)

Last.fm : le communautaire (III)