INFOGRAPHIE - Darmanin, Péchenard, NKM... La nouvelle galaxie Sarkozy

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Louis Hausalter et Mickaël Robin , modifié à
 Découvrez en un coup d’œil celles et ceux sur lesquels l'ancien président compte s'appuyer pour prendre la tête de l'UMP.

C'est officiel, Nicolas Sarkozy est candidat à la présidence de l'UMP. Avec, dans sa ligne de mire, l'élection présidentielle de 2017. Mais de qui l'ancien président va-t-il s'entourer pour relever ce nouveau défi ? Ces dernières semaines, il a enchaîné les rendez-vous, dans le but de constituer une équipe de campagne. En prenant le soin d'équilibrer entre fidèles de toujours et ralliés du moment, vieux routiers et jeunes loups, stars de la politique et conseillers de l'ombre. Europe 1 vous présente les hommes et les femmes qui gravitent autour de Nicolas Sarkozy.

• Parmi les anciens ministres du quinquennat Sarkozy, Laurent Wauquiez, Nathalie Kosciusko-Morizet et François Baroin ont apporté leur soutien à l'ancien président, et se font ses porte-parole médiatiques.

• Nicolas Sarkozy a aussi rajeuni son entourage. Parmi les trentenaires qu'il compte mettre en avant se trouvent Guillaume Peltier et Geoffroy Didier, les deux patrons de la Droite forte, mais aussi plusieurs députés élus en 2012 : son nouveau porte-parole Gérald Darmanin, ainsi que Virginie Duby-Muller et Guillaume Larrivé.

• L'ex-président peut toujours compter sur ses "grognards" de toujours : son fidèle ami Brice Hortefeux, bien sûr, mais aussi son ancien conseiller Henri Guaino, le député-maire de Nice Christian Estrosi, le sénateur Pierre Charon, ainsi que l'eurodéputée Nadine Morano, toujours à l'aise dans ses habits de forte-flingue.

• Loin des projecteurs, mais très active en coulisses, une équipe de campagne a été constituée. Elle est dirigée par Frédéric Péchenard, ancien patron de la police nationale. Un autre "grand flic", Michel Gaudin, est le directeur de cabinet de Nicolas Sarkozy. Celui-ci peut également compter sur Pierre Giacometti, Franck Louvrier, Jean-Michel Goudard, Emmanuelle Mignon, ainsi que sa conseillère pour la presse, Véronique Waché.

• En revanche, plusieurs personnalités qui tenaient des rôles-clés lors du quinquennat ont été volontairement tenues à l'écart, et notamment le conseiller Patrick Buisson, mis en cause dans l'affaire des écoutes.