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Cyril Hanouna - Quelle serait la première mesure des chroniqueurs d'«On marche sur la tête» s'ils étaient président de la République ?

Europe 1 - Mis à jour le . 1 min

Alors que la prochaine Une de "Valeurs actuelles" avec Cyril Hanouna fait déjà beaucoup parler, dans "On marche sur la tête" sur Europe 1, Cyril Hanouna a demandé à ses chroniqueurs quelle serait leur première mesure s'ils étaient président de la République. Entre le Smic, les impôts et les séniors, les réponses sont très diverses.

Quelle serait votre première mesure si vous étiez élu président de la République ? Nous nous sommes tous déjà posé la question. Une question que Cyril Hanouna, dont les ambitions présidentielles sont au cœur de nombreuses rumeurs depuis la publication de la Une de Valeurs actuelles, a décidé de poser à ses chroniqueurs dans On marche sur la tête sur Europe 1. 

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"Une bombe à retardement"

Olivier Dartigolles est le premier à avoir répondu à cette question. Pour lui, la priorité est de s'attaquer au Smic : "Il faut mettre fin à la smicardisation de la France. Nous avons à peu près 17% des salariés qui sont au Smic, plus de trois millions de personnes. Il y a une trappe à bas salaire. On ne peut pas vivre en France avec 1.400 euros. Donc 2.000 euros au début du quinquennat pour prendre une trajectoire à 2.300 ou 2.400 euros pour la fin du quinquennat". 

Valérie Bénaïm, elle, mettrait l'accent sur l'Éducation nationale : "Il y a un sujet majeur pour moi, c'est l'Éducation nationale, il faut augmenter le budget et augmenter le salaire des enseignants dès leur premier poste". Géraldine Maillet aimerait agir pour nos aînés : "Aujourd'hui, ils sont laissés pour compte. Les métiers dans ce secteur sont sous-payés. C'est une bombe à retardement. Je mettrais le paquet sur le très grand âge, ce n'est pas glamour, mais on en a besoin". 

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Enfin, Gauthier Le Bret estime que le plus important est de faire baisser les impôts : "On est un des pays les plus prélevés. Et pour baisser les impôts et moins dépenser, on doit taper dans le fonctionnement de l'État, dans les agences qui nous coûtent trop cher et dans le mille-feuille territorial. Il y a trop de strates entre l'Élysée et les petites mairies".