"Nous avons des liens contractuels. Accor les a toujours respectés", balaye Sébastien Bazin. 1:13
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"Nous avions déjà payé l'intégralité de la saison 2019-2020 donc c'est une tempête dans un verre d'eau", a affirmé Sébastien Bazin au micro d'Europe 1 dimanche, après avoir dit qu'il pourrait ne pas tout régler en cas de non reprise de la Ligue 1. 
INTERVIEW

Le groupe d'hôtellerie Accor, sponsor du PSG, a déjà payé "l'intégralité" de la somme prévue dans son contrat avec le club pour la saison 2019-2020, a rectifié dimanche son PSG Sébastien Bazin, après avoir dit qu'il pourrait ne pas tout payer en cas de non reprise de la Ligue 1 en raison du coronavirus.

 

"Les pieds dans le tapis"

"Nous avons des liens contractuels. Accor les a toujours respectés et les respectera toujours. Nous avions déjà payé l'intégralité de la saison 2019-2020 donc c'est une tempête dans un verre d'eau", a affirmé Sébastien Bazin au micro d'Europe 1.

Le dirigeant estime s'être "pris un peu les pieds" dans le tapis. Il avait affirmé vendredi sur le plateau de BFMTV que le groupe hôtelier, dont l'activité est fortement perturbée par la pandémie, ne procéderait "probablement pas" au prochain versement qu'il doit au PSG si la saison 2019-2020 de Ligue 1 ne s'achevait pas. "Nous, (le paiement) est versé en deux fois: au 1er janvier et au 1er juillet. Au 1er janvier, ça a été payé. Pour le 1er juillet, il faudrait que (le championnat) reprenne, autrement il ne sera probablement pas versé", avait-il expliqué.

"Très fiers d'être associé au PSG"

Accor est devenu cette saison le principal partenaire maillot du PSG dans le cadre d'un contrat estimé à plus de 55 millions d'euros par an. "Tout va bien et on est très fiers d'être associé au PSG. Je faisais allusion au fait que quand on est sponsor, on veut de la visibilité. Mais en même temps, c'est dans les mauvais moments que l'on reconnaît ses amis et ceux qui sont là pour vous. Dans les moments de tempête et de joie, nous serons aux côtés des gens avec lesquels nous sommes partenaires. Il n'y a pas lieu de polémiquer", a insisté Sébastien Bazin sur Europe 1.