La victoire contre l'Albanie, la réception de la Bosnie, mardi, pour un match couperet, la prestation des uns et des autres: Adil Rami, Djibril Cissé, Bafétimbi Gomis et Samir Nasri reviennent sur les grands enseignements de la soirée. Une bonne chose de faite ! En dominant l'Albanie 3-0, vendredi soir au Stade de France, les Bleus restent maîtres de leur destin avant de recevoir la Bosnie mardi, deuxième à un point des Français, pour le dernier match du groupe D des éliminatoires à l'Euro 2012. Une victoire sans frayeur, presque méthodique, pour Adil Rami et Bafétimbi Gomis. Avec un grand Samir Nasri, qui s'est racheté après des dernières prestations en Bleu plutôt ternes, la France a récité sa partition face, il faut le dire, à de faibles Albanais. Le joueur de Manchester City a retrouvé l'envie et ses repères au sein d'une équipe de France qui a évolué vendredi soir dans un système comparable à celui des Citizens. Toutefois, auteur d'une prestation moyenne, Bafétimbi Gomis n'a pu réprimer sa déception. Le Lyonnais n'a pas marqué et a évolué, vendredi soir, dans une position de pivot "assez ingrate". Mardi, les Bleus seront maîtres de leur destin: une victoire ou un nul suffira aux hommes des Laurent Blanc pour se qualifier à l'Euro 2012. Adil Rami semble zen et confiant avec ce match couperet. Les Français devront donc mettre le Bleu de chauffe pour se qualifier. Mais pour Djibril Cissé, rentré en cours de jeu vendredi sous l'acclamation du Stade de France, ce ne sera pas le match de la peur.