Valérie Trierweiler entendue par l’IGS

Vélérie Trierweiler a été reçue lundi dans les locaux de la police des polices, et par le Défenseur des droits.
Vélérie Trierweiler a été reçue lundi dans les locaux de la police des polices, et par le Défenseur des droits. © Maxppp
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avec AFP , modifié à
La police des polices est saisie de la plainte contre X de la compagne de Hollande.

Valérie Trierweiler a été entendue lundi par le Défenseur des droits et l’IGS. La compagne de François Hollande a été reçue au sujet de l’existence supposée d’une enquête de la préfecture de police sur sa vie privée.

La journaliste et son compagnon François Hollande ont porté plainte contre X pour "collecte et traitement illicite de données personnelles", le 20 octobre dernier auprès du parquet de Paris, après un article de  L'Express. Dans son édition du 4 octobre dernier et s'appuyant sur des "sources policières concordantes", le magazine avait fait état d'une enquête policière de la direction du renseignement de la préfecture de police de Paris (DRPP, ex-Renseignements généraux, ndlr) et commandée début 2011 sur la journaliste politique. Elle devait être "destinée à établir ‘une notice biographique fouillée Valérie Trierweiler, y compris sur son réseau relationnel’".

Christophe Barbier, le directeur de publication de l’hebdomadaire, a d'ailleurs été auditionné "courant octobre" par le Défenseur des droits.

La préfecture de police dément

De son côté, la préfecture de police a fermement démenti l'existence "d'une note" et de "toute demande d'enquête". Le ministre de l'Intérieur, Claude Guéant, a d'ailleurs porté plainte contre L'Express pour "diffamation publique à l'encontre d'une administration et diffusion de fausse nouvelle".