Le pôle santé publique du tribunal de grande instance (TGI) de Paris s'est saisi de la plainte d'une jeune femme qui accuse la pilule de troisième génération d'être à l'origine de son handicap, a-t-on appris lundi de source judiciaire.
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Cette première plainte, qui vise le laboratoire Bayer et le directeur général de l'Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) avait été initialement déposée auprès du parquet de Bobigny. Les avocats de la jeune femme ont annoncé samedi que les plaintes de 30 autres femmes, s'estimant victimes de pilules contraceptives de troisième et quatrième générations, seraient déposées début janvier.