Un maître de cérémonie dans une entreprise de pompes funèbres a vu son licenciement retoqué par les prud’hommes de Saint-Nazaire. Son employeur l’avait renvoyé, lui reprochant d’avoir demandé à un assistant de la même entreprise "de monter sur le couvercle d’un cercueil pour pouvoir le fermer", raconte Ouest France.
Le corps en question était gonflé après une noyade. Le directeur de l’entreprise aurait dit : "Débrouillez-vous. Cassez-lui les bras s’il le faut". L'assistant du maître de cérémonie aurait de son côté "sauté" sur le cercueil.
Pour le juge des prud’hommes, dans ce dossier paroles contre paroles, le licenciement du maître de cérémonie était "dépourvu de causes réelles et sérieuses".