Royal réfléchit à lancer une boutique "Désir d’avenirs"

  • Copié
Rédaction Europe1.fr , modifié à
En quête de financements, l’ex-candidate à la présidentielle affirme "réfléchir à de nouvelles sources de revenus".

Oubliée le très onéreux Zénith de Paris, il y a un an, et place à un nettement plus abordable parc public, à Montpellier : pour sa rentrée, Ségolène Royal réduit la voilure financière, et la "fête de la fraternité" qui sera organisée le 19 septembre, doit le refléter.

Interrogée par Europe 1, l’ancienne candidate socialiste à la présidentielle confie "réfléchir à de nouvelles sources de revenus". Parmi les pistes envisagées : la création d’une boutique en ligne sur le site internet de son association, Désir d’avenirs . Pourraient notamment être proposés à la vente T-shirts, drapeaux et autres gadgets à l’effigie de l’ancienne candidate.

Ségolène Royal bénéficie encore partiellement du soutien financier du Parti socialiste : la rue de Solférino a notamment accepté de réembaucher l’attachée de presse personnelle de l’ancienne candidate, depuis qu’elle occupe le poste de vice-présidente de l’internationale socialiste.

En revanche, son "directeur de cabinet" à Paris, a vu son poste, jusqu’à présent à plein temps, devenir un mi-temps. Pierre Bergé, son principal soutien financier, a quant à lui été vu auprès de Vincent Peillon, lors des ateliers d’été du courant du "quadra" socialiste.

Pierre Bergé assure toutefois qu’il continuera à payer le loyer des locaux de Désirs d’avenirs à Paris, installés boulevard Raspail :