Je ne suis "pas la pom-pom girl" de DSK

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Dominique Strauss-Kahn passe par Paris et Laurent Fabius s'en amuse. Retour sur les phrases qui ont marqué la semaine politique.

Taquin. Je ne suis "pas une pom-pom girl" de Dominique Strauss-Kahn. De Laurent Fabius, jeudi sur Canal +, après avoir apporté son soutien à DSK. Et d'ajouter : il "a les épaules pour être président".

Prudent. Certains passent leur vie "dans le passé" ou "dans l'avenir". Moi je vis dans le présent". De Dominique Strauss-Kahn, interrogé mercredi sur Canal + sur ses ambitions présidentielles.

Amoureuse. "Il est grand". De Carla Bruni-Sarkozy, qui a provoqué l'hilarité sans le voir, lundi soir sur Canal +, en parlant de son mari. L’épouse du chef de l’Etat a également annoncé qu’elle jouerait dans le prochain film de Woody Allen.

Lasse. Martine Aubry pense-t-elle tous les jours à la présidentielle ? "Moi ça me rase, cette question et je vous le dirai tous les jours, ça me rase", a répondu la première secrétaire du PS dans une allusion à la question posée à Nicolas Sarkozy avant la présidentielle de 2007.

Passablement agacé. "C'est une farce, il nous prennent pour des guignols : on va fermer quoi ? On va fermer Bouygues, on va fermer la RATP ? C'est pas sérieux, c'est une blague, la seule solution c'est la régularisation de ces travailleurs sans-papiers". D'Olivier Besancenot (NPA), lundi sur i-Télé. Le porte-parole du NPA évoquait alors les mesures annoncées par le gouvernement contre les entreprises employant des immigrés en situation irrégulière.

Dévoué. "Julien Dray aurait dû être le candidat tête de liste dans l'Essonne". De Manuel Valls (PS) sur Europe 1.

Touché par la grâce. "Il y a des jours où je sais pourquoi j'ai brigué ce poste. Et puis il y a des moments comme aujourd'hui où je gracie une dinde et je l'envoie à Disneyland". Du président américain, Barack Obama qui vient de gracier la première dinde de son mandat comme le veut la tradition à la veille de la fête de Thanksgiving.

Canaille. Benoît Hamon est pour le moins énervé face à ce qu'il considère comme un trucage des chiffres du chômage. "Le directeur de Pôle emploi est une canaille de continuer à procéder ainsi, de tordre les statistiques pour expliquer que finalement tout va mieux qu'ailleurs", a lancé le porte-parole du Parti socialiste. L'intéressé, Christian Charpy, appréciera.