Jean-Marc Ayrault a exprimé mardi sa "tristesse et sa consternation" après les aveux de l'ex-ministre Jérôme Cahuzac, qui a reconnu avoir "menti devant le président de la République, le Premier ministre et la représentation nationale".
"Un homme politique doit être irréprochable. Il doit, plus que tout autre citoyen, respecter la loi", ajoute dans un communiqué le Premier ministre, pour qui "le mensonge n'est pas acceptable en démocratie".
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