Le ministre turc des Affaires étrangères, Ahmet Davutoglu, a affirmé mercredi que l'Iran serait prêt à cesser d'enrichir de l'uranium à 20% si la communauté internationale approuvait le projet de compromis qu'il a accepté en mai à Téhéran avec la Turquie et le Brésil. "Les désaccords doivent être mis de côté et les négociations entre le Groupe de Vienne et l'Iran doivent débuter tout de suite. Plus des progrès seront accomplis dans ces négociations techniques, plus les deux parties se feront confiance", a estimé le ministre.