Les enquêteurs américains ont retrouvé de l'ADN féminin sur au moins une des bombes qui ont servi à perpétrer les attentats de Boston, le 15 avril dernier, selon le Wall Street Journal. Ils n'ont en revanche pas réussi à déterminer son origine.
Lundi, des agents du FBI ont rendu visite aux parents de Katherine Russel, la veuve de Tamerlan Tsarnaev, l'un des poseurs de bombes présumés, tué après une fusillade avec la police. Ils auraient procédé à des prélèvements d'ADN pour effectuer des comparaisons avec celui retrouvé, précise le Wall Street Journal.