Après avoir fustigé l'Etat juif dans une diatribe contre l'établissement d'un "gouvernement raciste" en Israël lors de la conférence de l'ONU sur le racisme à Genève, le président iranien a semblé modérer ses propos en reconnaissant le droit des Palestiniens à obtenir un accord.
"Quelle que soit la décision qu'ils prennent, c'est d'accord avec nous, nous n'allons pas l'empêcher, quelle que soit la décision qu'ils prennent, nous la soutiendrons", a-t-il expliqué. "Pour nous, il s'agit d'un droit pour le peuple palestinien et nous espérons que les autres pays le pensent aussi", a-t-il ajouté, sans préciser si l'Iran reconnaîtrait Israël dans l'hypothèse d'un accord sur la création d'un Etat palestinien.