Ce serait notamment grâce à ce portrait-robot que le suspect, placé en garde à vue lundi soir dans l'enquête sur le meurtre de la joggeuse de 33 ans à Nîmes, a été identifié. L'homme a été confondu par son ADN, a annoncé mardi le procureur de Nîmes, confirmant une information d'Europe 1 faisant état que l'ADN trouvé sur le corps de la victime correspond à celui de ce Britannique de 32 ans, prénommé Robert.
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Présenté par certaines sources comme quelqu'un de déséquilibré, l'homme vit avec sa mère dans une villa à moins de 300 mètres du lieu du crime. Le suspect a d'abord nié toute implication dans le meurtre . Il est depuis revenu sur ses déclarations en expliquant aux enquêteurs qu'il se trouvait effectivement sur les lieux du crime ce soir là et qu'il serait rentré chez lui couvert de sang. Il assure en revanche ne plus avoir de souvenirs. De plus, ses mains présenteraient des blessures causées par des ronces, ce qui correspond aux constatations du médecin légiste, a précisé une autre source proche du dossier. Autre élément important, d’après les informations d'Europe 1, un cutter a été retrouvé à son domicile lors des perquisitions et pourrait correspondre à l'arme du crime.