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SAISON 2016 - 2017

Chaque matin, Julien Pearce revient sur ce qui fait la Une des quotidiens nationaux.

On commence avec le Parisien/Aujourd'hui en France qui nous livre une Une pleine d'enthousiasme. "Romain Bardet. On y croit" titre le quotidien. Alors que les Alpes se profilent le coureur, 3e au classement général est en position de remporter le Tour et de succéder à Bernard Hinault. Le dernier vainqueur Français de la Grande Boucle, c'était en 1985 une éternité à laquelle compte bien mettre fin cet Auvergnat qui ne laisse rien au hasard.

"Romain? C'est comme une Formule 1, c'est dans les plus petits détails qu'il va chercher ses succès" explique son manager. On apprend dans l'article que Bardet mange principalement les légumes cultivés par sa grand-mère dans son jardin, qu'il parcourt près de 26 000 km à vélo par an et qu'il passe jusqu'à 4h par jour au téléphone avec son entraîneur, soit bien plus qu'avec sa future femme. 

On revient au Parisien avec cette initiative rigolote du Pape qui vient d'accrocher un panneau sur la porte de sa résidence au Vatican. On peut y lire en italien: "Interdit de se plaindre!". Le Pape François est un sacré blagueur titre le quotidien "il a besoin de rire, l'humour fait partie de son style sud-américain" expliquent les experts du Vatican. Fraîchement élu il avait par exemple lancé cette phrase aux cardinaux qui l'ont choisi: "que Dieu vous pardonne!"

Même quand il est très sérieux certains de ses interlocuteurs croient à une vanne c'est ce qui est arrivé quand François a appelé son ancien ordre Jésuite pour parler au supérieur. Après avoir décliné son identité au réceptionniste ce dernier lui a répondu: "Ah oui? Et moi je suis Napoléon!".

La Croix consacre sa Une aux Incendies de forêt "la menace des été chauds, les risquent s'accroissent" titre le quotidien, à cause du réchauffement climatique, la période à risque et les zones à surveiller s'étendent. Sur le plateau d'Arbois en Provence les incendies à répétition et les températures qui augmentent modifient progressivement le paysage "sur les 200 plantes que l'on trouve ici plus de 50 ne pourront plus repousser à terme" explique un ingénieur qui s'inquiète de ne voir plus que des tas de cailloux à perte de vue.