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Cinq personnes de différentes régions ont été placées en garde pour "cyberharcèlement" et "menaces de mort", dans le cadre de l'enquête sur les menaces reçues par la jeune Mila. S'il se félicite de conséquences concrètes pour ces menaces, l'avocat de l'adolescente, Me Richard Malka, déplore mardi sur Europe 1 l'attitude de Twitter dans ce dossier.