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L'assassinat du professeur des collèges Samuel Paty, vendredi, à Conflans Sainte-Honorine, fait resurgir le débat sur le rôle des réseaux sociaux. Plusieurs vidéos auraient en effet incité le tueur à passer à l'acte. Convoquées par le gouvernement mardi, les plateformes tentent de mettre en avant leurs efforts de modération.

Conséquence de l’assassinat de Samuel Paty, les réseaux sociaux sont de nouveau dans l’œil du cyclone. C’est sur Facebook qu’a été postée la vidéo du parent d’élève ciblant l’enseignant après son cours sur les caricatures de Charlie Hebdo. Puis, l’assaillant a posté sur Twitter la photo du cadavre de la victime. En réaction, de nombreux responsables politiques appellent à plus de régulation des plateformes. Les patrons pour la France des grands réseaux sociaux sont convoqués par Marlène Schiappa, mardi à 10 heures. Mais peut-on dire pour autant qu’ils ne font rien contre les messages haineux ?