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L’essentiel de l’actualité sportive présenté par Jérôme Lacroix.

À la Une ce matin, un seul être vous manque...

Vous connaissez la suite... Les footballeurs du PSG, ont semble-t-il encore du mal, à se remettre du départ en fin de saison dernière de la star, Zlatan Ibrahimovic. Ses buts et son aura manquent aujourd'hui. On l'a constaté samedi dernier alors que les Parisiens coulaient à Montpellier avec une défaite 3-0 en championnat de France. Ce matin, à quelques heures de la réception des Bulgares de Ludogorets Razgrad pour le dernier match du premier tour de la Ligue des champions, le Brésilien Maxwell, l'un des meilleurs amis d'Ibrahimovic, confesse qu'il faudra tout de même avancer, malgré l'absence.
PSG-Ludogorets Razgrad, le coup d'envoi sera donné à 20h45. L’objectif est de gagner pour finir premier du groupe, histoire de s'assurer un adversaire a priori moins fort en 8es de finale.

Le foot ce matin c'est aussi le beau geste de la confédération sud-américaine.

Qui a attribué la Copa SudAmericana, la deuxième Coupe d'Amérique latine, à Chapecoense dont une grande partie des joueurs et du staff a trouvé la mort dans un tragique accident d'avion. À la clé, notamment, une dotation d'un peu moins de quatre millions d'euros.

Le mot "sport" du jour.

"Record". Un nouveau record de vitesse a été établi par le skippeur Armel Le Cléac'h, toujours leader du Vendée Globe ce matin. Il a franchi hier le cap Léouine, au sud-ouest de l'Australie, avec cinq jours d'avance sur François Gabart, précédent recordman. Le Cléac'h prend tous les risques, faisant fi autant que faire se peut, des conditions de vie bien spartiates à bord. Morgan Lagravière, de retour à terre après 18 jours de course puisqu’il a dû abandonner pour son premier Vendée Globe, est toujours plus admiratif, de ces forçats de la mer.
Hier, avaries pour Sébastien Josse et Romain Attanasio mais pour l'instant, pas d'abandon.

 

L'histoire du jour ?

Les factures bien salées des stades brésiliens lors du dernier Mondial de foot en 2014. Les notes de construction ou de rénovation ont été gonflées et surfacturées parfois du simple au double, reconnaît ce matin un géant du BTP. Cinq stades, dont le célèbre Maracana, sont concernés. Colère au Brésil, puisque tout cela a été financé avec de l'argent public.