Hollande/Corse : "aucunement acceptable"

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avec AFP

François Hollande a estimé mercredi en Conseil des ministres que la violence en Corse n'était "aucunement acceptable dans notre République", après l'assassinat de l'avocat Antoine Sollacaro, a rapporté la porte-parole du gouvernement, Najat Vallaud-Belkacem.

Le président de la République a relevé que "la violence en Corse n'est pas nouvelle mais a changé de nature et d'intensité". "Elle est aujourd'hui essentiellement liée à des réseaux, des clans, des règlements de compte avec un nombre de morts qui n'a cessé de progresser et qui n'est aucunement acceptable dans notre République", a-t-il dit, selon la porte-parole.