La création d'une "bad bank", une structure de défaisance pour les actifs dépréciés, est "une des possibilités" que la France et la Belgique étudient dans le cas de la banque bi-nationale Dexia, qui risque d'être démantelée, a déclaré mardi le ministre belge des Finances, Didier Reynders.
"Tant la France que la Belgique sont prêtes à apporter une garantie pour les financements de Dexia, quelle que soit la forme que cela prendra", a dit Didier Reynders en marge d'une réunion des ministres européens des Finances à Luxembourg. "On a beaucoup parlé d'une +bad bank+, c'est une des possibilités", a-t-il ajouté.