volkswagen

Entre ventes record et accord amiable aux États-Unis, Volkswagen espère faire oublier le scandale des moteurs truqués au plus vite. Mais la route est cabossée.

Le constructeur a consenti mardi à verser 4 milliards d'euros au gouvernement américain pour stopper l'enquête pénale au sujet du scandale du diesel.

Au Royaume-Uni, le groupe a promis de corriger tous les véhicules impliqués, mais plusieurs propriétaires de voitures ont toutefois décidé de s'associer à une plainte collective.

Oliver Schmidt, interpellé samedi, est soupçonné d'avoir joué un rôle important pour masquer aux autorités américaines la triche aux émissions polluantes de Volskwagen. 

Le constructeur a annoncé dimanche rappelé 50.000 véhicules vendus en Chine en raison d'un problème qui pourrait engendrer des difficultés de freinage.

Ce montant s'ajoutera aux quelque 15 milliards de dollars que le géant de l'automobile s'est déjà engagé à débourser pour d'autres propriétaires de véhicules. 

La Commission européenne estime que c'est le devoir de l'UE de faire respecter la loi aux constructeurs automobiles.

Le constructeur allemand prévoit aussi d'investir massivement et de créer des emplois en vue de la production de véhicules électriques.

Une plainte en nom collectif a été déposée contre le constructeur automobile allemand Audi, soupçonné à son tour d'avoir installé un logiciel pour frauder les tests antipollution.

Le constructeur automobile est lui aussi accusé d’avoir mis au point un logiciel pour truquer les tests anti-pollution.

Volkswagen s'est dit convaincu que son directoire "a rempli conformément à la loi ses obligations en matière de communication avec les marchés".

Après quatre titres de champion du monde des constructeurs, Volkswagen se retire du championnat des rallyes.

Après quatre ans d'archi-domination, Volkswagen a décidé de se retirer du Championnat du monde des rallyes, selon "Autosport". Ce qui laisse Sébastien Ogier orphelin.

Pour respecter plus strictement les normes européennes, les avantages du diesel pourraient prendre fin.

Matthias Müller n'a pas eu connaissance du trucage de logiciels des moteurs diesel de Volkswagen, selon une enquête interne réalisée par un cabinet d'avocats.

Voiture transformée en centre de loisir, qui se gare pour vous ou permet de régler la température de sa maison : le Mondial de l'auto est l'occasion de se pencher sur la révolution en cours dans les habitacles.

C'est ce qu'a annoncé jeudi la commission d'experts mise en place par le gouvernement chargé de contrôler les émissions des voitures diesel.

Le secrétaire d'Etat au Budget Christian Eckert réclamera aux constructeurs automobiles fautifs une compensation du "manque à gagner fiscal". 

Ces investisseurs, institutionnels et privés, s'estiment lésés par le scandale des moteurs diesels truqués.

Une ONG a fait ses comptes, malgré le scandale créé par Volkswagen et ses logiciels de trucages, ce n'est pas la marque de voitures qui pollue le plus.

La campagne de rappel des véhicules concernés a du mal à prendre et seulement un tiers des clients s’est déplacé.

Bruxelles rassemble des preuves contre plusieurs pays européens, soupçonnés de laisser les constructeurs enfreindre les règles d'émissions polluantes.

James Liang a été inculpé pour être "directement" impliqué dans le développement de logiciels truqueurs, conçus pour détourner la loi anti-pollution aux Etats-Unis.

La ministre de l'Environnement réfute les allégations de la presse accusant la commission d'enquête sur le diesel d'impartialité. 

Selon le Financial Times, la commission d'enquête chargée d'établir les fraudes des constructeurs sur les moteurs diesel a omis certains détails défavorables à Renault. 

Un conflit avec deux de ses fournisseurs depuis plusieurs semaines avait poussé le constructeur allemand à réduire le temps de travail de 28.000 de ses salariés. 

Six usines sont concernées par cette mesure, dont celle du siège du constructeur basé à Wolfsburg dans le nord du pays.

Selon le "Wall Street Journal", la justice américaine possède des preuves d'activités criminelles chez le constructeur allemand.

Le groupe Volkswagen a reçu le feu vert de l'autorité de régulation pour réparer une partie des véhicules européens concernés par le scandale des moteurs truqués. 

D'après le rapport final de la commission Royal qui a testé 86 véhicules après le scandale Volkswagen, de "nombreux dépassements" des seuils de pollution ont été observés.