
vladimir poutine - Toute l'info et l'actualité sur Europe 1.
vladimir poutine - Toute l'info et l'actualité sur Europe 1.
Le président russe Vladimir Poutine s'apprête à donner jeudi sa conférence de presse annuelle devant un parterre de plus de 1.700 journalistes. Il abordera notamment les tensions avec l'Ukraine ou encore avec les États-Unis.
D'après Vladimir Poutine, "les autorités actuelles ukrainiennes n'ont pas intérêt à régler le conflit" entre Kiev et séparatistes prorusses dans l'Est ukrainien.
Lors d'une rencontre bilatérale avec Emmanuel Macron, Vladimir Poutine a fait un dessin pour justifier la capture de bateaux ukrainiens, qui a déclenché une crise majeure entre Moscou et Kiev.
Le président américain a annoncé jeudi en fin d'après-midi qu'il annulait sa rencontre initialement prévue avec Vladimir Poutine en marge du G20 argentin.
Parmi les sujets qui pourraient être abordés par les deux chefs d'État, "les relations bilatérales, la sécurité stratégique, le désarmement et les conflits régionaux", a précisé le Kremlin.
La capture par des gardes-côtes russes de trois bateaux militaires ukrainiens a ravivé les tensions entre les États-Unis et la Russie.
Des incidents survenus ce week-end en mer d'Azov, au sud de l'Ukraine, font craindre que des affrontements armés n'éclatent entre les deux pays.
Le président russe a affirmé à la chancelière allemande qu'il espérait "que Berlin pourra influencer les autorités ukrainiennes afin de les dissuader des actes ultérieurs irréfléchis".
Ex-diplomate russe devenu écrivain en France, Vladimir Fédorovski décrit la capacité de manipulation de Vladimir Poutine. Et souligne que Donald Trump n'est pas en reste.
Le président russe a affirmé avoir eu une "bonne" conversation avec son homologue américain, dimanche à Paris.
Les présidents russe et américain doivent participer tous les deux aux commémorations de la fin de la Première Guerre mondiale, à Paris.
Les présidents américain et russe seront à Paris pour les commémorations de la fin de la Première Guerre mondiale.
Le président russe a prévenu mercredi que si les États-Unis déployaient des missiles en Europe, la Russie répondrait "de façon symétrique".
"Nous sommes absolument prêts" à discuter d'une éventuelle visite officielle de Vladimir Poutine aux États-Unis, a déclaré aux journalistes le porte-parole du Kremlin, mercredi.
Les présidents russe et américain seront à Paris le 11 novembre prochain pour les commémorations de la fin de la Grande Guerre, qui pourraient être l'occasion d'une rencontre bilatérale.
Donald Trump a annoncé sa volonté de se retirer d’un traité sur les armes nucléaires, conclu avec la Russie pendant la Guerre froide, qui pourrait conduire "à une nouvelle course à l'armement", selon l'historien Pierre Grosser.
Donald Trump estime que la Russie a cessé de respecter ce traité, abolissant l’usage de certains missiles, et signé en 1987 par Ronald Reagan et Mikhaïl Gorbatchev.
Le président russe a estimé jeudi que la tuerie dans un lycée de Crimée était le fait des "réseaux sociaux", tandis que l'ex-petite amie de l'auteur de la tuerie a évoqué son désir de vengeance.
Le président russe prendra part aux commémorations du 11-Novembre, tout comme son homologue américain Donald Trump.
Oleg Sentsov est emprisonné en Russie pour "terrorisme" et "trafic d'armes". Des charges qu'il a longtemps dénoncées en menant une grève de la faim pendant près de quatre mois.
"Ce Skripal n'est qu'un traître. Il a été pris et puni, il a passé 5 ans en prison", a affirmé le président russe lors d'un forum à Moscou.
Le président russe Vladimir Poutine s'est rendu dans un stand de tir de la société Kalachnikov mercredi pour essayer le nouveau fusil de la firme et montrer ses talents de tireur, selon la télévision d'État.
Pour Poutine, les deux hommes, visés par des mandats d'arrêts britanniques, n'ont rien à voir dans l'empoisonnement de Sergueï Skripal et de sa fille en mars dernier.
300.000 soldats, 36.000 véhicules, 1.000 avions et 80 navires participent à partir de mardi aux plus grandes manœuvres militaires de l'histoire de la Russie.
Les dirigeants des trois pays se sont rencontrés vendredi au cours d'un sommet à Téhéran, au moment où le régime syrien se prépare à l'offensive contre la région d'Idleb.
Après la Première ministre Theresa May mercredi, qui avait accusé le renseignement militaire russe, c'est le Secrétaire d'État à la Sécurité qui a directement accusé jeudi le président russe.
La réforme, actuellement en débat au Parlement, a fait l'objet d'un assouplissement par Vladimir Poutine, confronté depuis plusieurs à la fronde de milliers de Russes.
L'opposant, âgé de 42 ans, avait été arrêté samedi devant son domicile. Il a déjà purgé une peine de prison en juin.
L'opposant russe Alexei Navalny a été interpellé samedi devant chez lui. Une arrestation "probablement liée" à son intention d'organiser des manifestations contre un projet de réforme des retraites.
"J'espère que nos collègues américains vont prendre conscience qu'une telle politique n'a pas d'avenir", a déclaré Poutine à propos des sanctions américaines.