
Turquie - Toute l'info et l'actualité sur Europe 1.
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Les dix-sept journalistes, accusés de lien avec Gülen, sont poursuivis pour appartenance à "un groupe terroriste".
"Mêlez-vous de vos affaires !" a lancé Recep Tayyip Erdogan vendredi depuis le palais présidentiel, en s'adressant à l'Union européenne et aux Etats-Unis.
Huit autres soldats ont également été blessés, selon l'agence de presse Dogan.
130 médias ont été interdits et pas moins de 89 mandats d'arrêts ont été émis contre des journalistes ces trois derniers jours en Turquie.
149 généraux et amiraux ont aussi été limogés après le putsch raté, annonce un responsable mercredi.
Le ministre de l'Energie a laissé entendre que des éléments de l'armée avaient ourdi ce putsch après avoir appris qu'ils étaient sur le point d'être victimes d'une purge.
Ce pont, ouvert en 1973 et connu simplement sous le nom de Pont du Bosphore, sera nommé Pont des Martyrs du 15 juillet.
La compagnie aérienne nationale Turkish Airlines a licencié lundi 211 employés, évoquant notamment leurs liens avec un groupe religieux à l'origine du putsch manqué du 15 juillet, selon Erdogan.
Trois putschistes suspectés d'avoir attaqué l'hôtel du président turc la nuit du putsch avorté ont été placés en garde à vue, a-t-on appris lundi.
A l'appel du principal papier d'opposition, des milliers de Turcs - parmi lesquels des partisans d'Erdogan - se sont réunis à Istanbul pour défendre la démocratie.
Selon l'ONG, "la police turque à Ankara et Istanbul maintient des détenus dans des positions douloureuses pendant des périodes pouvant aller jusqu'à 48 heures".
Au moins 283 membres de la garde présidentielle ont été arrêtés après le putsch manqué.
Plusieurs grands sportifs turcs ont fait part de leur soutien au président Erdogan après la tentative de coup d'Etat.
Le neveu de l'opposant Fethullah Gülen, exilé aux Etats-Unis et accusé d'être à l'origine du coup d'Etat manqué en Turquie, a été arrêté à indiqué une agence de presse turque.
La répression bat son plein une semaine après l'échec du putsch en Turquie, où la durée maximale de garde à vue a été portée samedi à 30 jours.
Dans la crise des migrants, "nous avons servi de boucliers à l'Europe", "ils ont fait des promesses et ils n'ont pas tenu leurs promesses", a-t-il dit.
La durée légale est de quatre jours. Le ministre de la Justice Bekir Bozdag avait évoqué vendredi une extension à "sept-huit jours".
Une semaine après le coup d'Etat manqué en Turquie, les purges se poursuivent.
Samuel Etienne revient sur les temps forts de la matinale et les réactions sur les réseaux sociaux.
Le président turc joue habilement sur les accords préalablement passés avec l'UE pour désamorcer toute contestation envers la purge en cours.
L'UE a aussi rappelé à la Turquie jeudi l'importance de respecter "les droits de l'homme, l'état de droit et les libertés fondamentales".
Le pays a pris la décision de déroger à certains des droits garantis par la CEDH "dans la mesure où cela ne contrevient pas à ses obligations internationales".
Ils resteront en détention jusqu'à la décision sur leur demande d'asile, a précisé un responsable de la police.
Réprimée voire interdite, la presse d'opposition turque vit sous perfusion, ainsi qu'en témoigne Emré Démir sur Europe 1.
Le président turc estime que "le coup d'Etat n'est peut-être pas fini".
"Il se peut que d'autres pays soient impliqués" dans le putsch avorté, selon le président turc.
Le chef de la diplomatie française avait réclamé dimanche le respect de l'Etat de droit en Turquie.
L'attaquant de la Mannschaft a expliqué sa décision à cause des "événements terribles de ces derniers jours."
Le porte-parole d'Angela Merkel a estimé que les dernières mesures de reprise en main prises par le pouvoir turc suite à la tentative de putsch sont "contraires" à l'Etat de droit.
Le président des Etats-Unis a également appelé son homologue turc au respect du droit.