Date de création : 17 novembre 2002 (UMP) changement de nom le 30 mai 2015
Fondateurs : Jacques Chirac et Alain Juppé
Président : Laurent Wauquiez
Positionnement : Droite
Nombre de députés : 103/577
Nombre de sénateurs : 146/348
Date de création : 17 novembre 2002 (UMP) changement de nom le 30 mai 2015
Fondateurs : Jacques Chirac et Alain Juppé
Président : Laurent Wauquiez
Positionnement : Droite
Nombre de députés : 103/577
Nombre de sénateurs : 146/348
Nathalie Kosciusko-Morizet, députée LR de l’Essonne, était l’invitée du Grand Rendez-vous Europe 1- Le Monde - I-Télé.
Le président du parti Les Républicains s'est voulu volontaire, samedi, pour sa première prise de parole publique de l'année.
Alors que Nicolas Sarkozy accueille samedi un millier de nouveaux adhérents, un message des Républicains s'est subitement affiché en plein Télé Shopping de TF1.
Le patron des Républicains va recevoir les nouveaux adhérents de son parti. Une nouvelle page s'ouvre devant lui.
Le parti Les Républicains compte désormais plus de 238.000 adhérents. L'objectif en 2017 est toujours fixé à 500.000.
Le conseiller LR de Paris a estimé que la ministre de la Justice doit revenir sur ses propos sur la déchéance de nationalité ou quitter son poste.
Gérald Darmanin, maire de Tourcoing, quitte la direction nationale de Les Républicains, critiquant 'l'entourage" et "la méthode" de Sarkozy.
Invité d'un débat jeudi matin sur la déchéance de nationalité avec l'élue Front de Gauche, Clémentine Autain, le député Les Républicains des Hauts-de-Seine veut "des actes pour améliorer la sécurité des Français".
UN MAUVAIS BILAN ? - La députée européenne dénonce le bilan catastrophique du ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve et déplore qu'il soit encore en poste.
Le député des Alpes-Maritimes est revenu sur la rentrée d'Alain Juppé et la primaire de la droite dans la Matinale d'Europe 1 jeudi.
SA POSITION - Le député Les Républicains François Fillon a dénoncé une "réforme bancale" concernant la déchéance de nationalité.
Nicolas Sarkozy s’est prononcé mercredi contre la déchéance de nationalité pour tous. Aurélie Herbemont, journaliste à Europe 1, décrypte la stratégie du patron des Républicains sur un débat qui déchire les partis politiques.
Le président des Républicains Nicolas Sarkozy est favorable à la déchéance de nationalité mais à certaines conditions. Il est opposé en revanche à la déchéance de nationalité pour tous.
La déchéance de nationalité étendue à tous les Français, que certains socialistes ont proposée pour contrer les critiques dans leur propre camp, est vivement décriée à droite.
Le candidat à la primaire de la droite et du centre sort un livre en début d'année.
Le candidat à la primaire de la droite et du centre a précisé ses propositions pour réduire le chômage, notamment en encourageant les chômeurs à revenir à l'emploi.
Le candidat Les Républicains à la primaire de la droite et du centre a sévèrement critiqué les mesures prônées par François Hollande pour réduire le chômage.
Le n°2 des Républicains a été élu lundi président de la nouvelle région Auvergne-Rhône-Alpes.
Nicolas Sarkozy va convoquer le bureau politique des Républicains mercredi pour une réflexion sur la révision de la Constitution.
Alors que la majorité des Français sont contre des candidatures de Sarkozy et de Hollande en 2017, trois jeunes politiciens donnent leur vision du renouvellement de la politique.
Le futur président de la région Nord Pas-de-Calais Picardie a proposé d'étendre la déchéance de nationalité à tous les Français condamnés pour terrorisme.
Le futur président de la région Nord Pas-de-Calais Picardie se dit prêt à travailler avec l'exécutif socialiste dans sa région, notamment sur les réfugiés et l'emploi.
Après Emmanuel Macron, Manuel Valls et Nicolas Sarkozy, c’est Alain Juppé qui sera, mardi 5 janvier, l’invité dunouveau format d’Europe 1 inauguré en novembre dernier : pendant deux heures il répondra aux questions de Thomas Sotto et son équipe et réagira à l’actualité.
Dans ses vœux pour 2016, Nicolas Sarkozy s'est retrouvé contraint de soutenir le gouvernement sur la déchéance de nationalité. Alors que ses adversaires sont déjà bien engagés dans la campagne pour la primaire, la rentrée s'annonce compliquée pour le chef de Les Républicains.
Interrogé mercredi sur Europe 1, le député Les Républicains a fustigé l'extension de la déchéance de nationalité proposée par François Hollande, qui ne va pas assez loin selon lui.
Le candidat à la primaire de la droite et du centre prépare soigneusement sa rentrée, qui doit marquer le début de sa campagne.
La réforme constitutionnelle de François Hollande est vivement critiquée à gauche. Elle ne fait pas non plus l'unanimité à droite.
François Kalfon, secrétaire national du PS et Philippe Goujon, député-maire Les Républicains, ont débattu de la déchéance de nationalité.
CONTRE - L'ancien ministre Benoist Apparu n'est pas favorable à la déchéance de nationalité voulue par François Hollande.
Le maire du Havre, proche d'Alain Juppé, s'est félicité mardi au micro d'Europe 1 du soutien de Claude Chirac à l'ancien Premier ministre pour la primaire à droite.