
Kenya - Toute l'info et l'actualité sur Europe 1.
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En marge de la présidentielle au Kenya à Kisumu au moins un partisan de l'opposition a été tué par balle jeudi dans des affrontements avec la police.
Le leader de l'opposition Raila Odinga a appelé ses partisans à rester "chez eux" jeudi, estimant que les conditions d'une élection transparente et juste n'étaient pas réunies.
Le climat est très tendu au Kenya depuis l'élection présidentielle annulée par la Cour suprême du pays. Deux opposants au président en place ont été tués vendredi.
Estimant que la Commission électorale ne peut garantir le bon déroulé de l'élection présidentielle du 26 octobre, la coalition de l'opposition a décidé de retirer sa candidature.
Le sinistre s'est déroulé dans un établissement renommé qui accueille environ 1.000 adolescentes. Dix autres ont été blessées.
L'opposition, qui conteste la réélection du président sortant Uhuru Kenyatta, avait saisi la Cour suprême. L'institution lui donne raison en invalidant l'élection présidentielle.
L’opposition kényane au président réélu a saisi la Cour suprême pour contester les résultats de la présidentielle, en vue d'ouvrir la voie à de nouvelles élections.
L'attaque a été perpétrée vendredi vers 1h dans le village de Maleli, près de la localité de Witu. Quatre villageois ont été tués à l'arme blanche.
Comme il l'avait fait en 2013, Raila Odinga, le leader de l'opposition, va contester la réélection d'Uhuru Kenyatta devant la Cour Suprême.
Samantha Pendo, un bébé de six mois, avait été admise à l'hôpital et se trouvait dans le coma depuis vendredi soir.
Une bataille rangée, à coups de pierres, de bâtons et de flèches, a éclaté entre membres de l'ethnie kikuyu et de Luos après des rumeurs sur la mort de deux membres de cette communauté.
L'opposant au président kényan réélu, qui conteste sa défaite, a appelé ses partisans à rester chez eux et ne pas aller travailler lundi.
La police kényane aurait tué une centaine de personnes selon l'opposition au président réélu, qui y voit une tentative de réprimer son mouvement de contestation.
Des affrontements avec la police, suite à la réélection du président kényan Uhuru Kenyatta, ont fait deux morts à Kisumu et Siaya dans la nuit de vendredi à samedi.
Le président kényan sortant a été réélu vendredi, une annonce immédiatement suivie d'émeutes dans des fiefs de l'opposition qui a dénoncé une "mascarade".
L'opposition au président sortant réélu Uhuru Kenyatta conteste les résultats provisoires, estimant que l'élection est entachée d'une fraude 'massive".
Les tensions au Kenya ont pris une tournure dramatique mercredi avec la mort de quatre hommes, dont deux manifestants, abattus par la police.
La police a tiré des grenades lacrymogènes en direction de plusieurs centaines de manifestants dans un quartier de Kisumu, grande ville de l'ouest du Kenya.
Les résultats du scrutin, qui s'est déroulé dans le calme mardi, portent en tête le président sortant Uhuru Kenyatta crédité de 54,89% des voix contre 44,28% pour le chef de l'opposition Raila Odinga.
L'opération a longtemps été inefficace, malgré l'utilisation de grenades et gaz lacrymogène. Un assaillant et un policier ont été tués.
William Ruto et sa famille ne se trouvaient pas chez eux au moment de l'attaque. Un policier d'élite chargé de la sécurité a été grièvement blessé.
En Afrique de l'Est, les albinos sont considérés comme des personnes dotées de pouvoirs magiques.
Selon son entourage, la voiture de Kuki Gallmann, célèbre protectrice de la nature kényane, est tombée dans une embuscade
Ils sont trois millions à souffrir de la famine causée par le manque d'eau. Or le pays ne reçoit que très peu d'aide de la communauté internationale.
Une enquête a été ouverte samedi après la diffusion d'une vidéo sur Internet où le policier abat de sang froid un homme désarmé, à Nairobi.
Le pachyderme a été tué par des braconniers. Désormais, il ne reste plus que 25 éléphants "aux défenses géantes" dans le monde.
L'accident s'est produit à Karai, sur la route très fréquentée qui relie Nairobi et Nakuru et continue jusqu'à l'Ouganda voisin.
Malik Obama, le demi-frère du président américain, avait affiché son soutien au candidat républicain.
Pour faire arrêter la triche aux examens, des mesures drastiques ont été entreprises dans le pays.
L'attaque, survenue dans la nuit de lundi à mardi, pourrait être l'oeuvre de terroristes du mouvement shebab.