
Date de création : 6 avril 2016
Fondateur : Emmanuel Macron
Secrétaire général : Richard Ferrand
Positionnement : Centre
Date de création : 6 avril 2016
Fondateur : Emmanuel Macron
Secrétaire général : Richard Ferrand
Positionnement : Centre
Nicolas Dupont-Aignan est à l'initiative d'une plateforme participative supposée réunir l'électorat de droite autour de thèmes communs. Sa démarche s'inspire de celle du président de la République pendant la campagne.
Les élus de la majorité demandent à ce que les symboles reconnus par l'Union européenne soient davantage valorisés en France. Une manière aussi de se positionner avant les élections européennes de 2019.
Les députés La République en marche vont déposer un amendement visant à rendre automatique la privation des droits civiques pour les gros fraudeurs.
Élu de terrain, apprécié des parlementaires comme des marcheurs, l'actuel porte-parole du gouvernement coche toutes les cases pour diriger le parti.
INTERVIEW - Le chef de file des députés LREM à l'Assemblée est l'invité d'Europe 1 lundi, au lendemain de l'interview télévisée d'Emmanuel Macron et trois jours après le classement sans suite de l'affaire des Mutuelles de Bretagne.
La justice a décidé de ne pas poursuivre Richard Ferrand dans l'affaire des Mutuelles de Bretagne, qui avait coûté à ce proche d'Emmanuel Macron son fauteuil de ministre.
Alors que le projet de budget de la Sécu doit être bientôt examiné, des députés LREM proposent de revoir la taxe des boissons sucrées ou encore les soins des malades sans papiers.
La commission des Lois a adopté une résolution pour modifier le règlement. Deux des vice-présidents LREM vont devoir démissionner pour laisser la place à des LR.
Marie-Laure Harel et Jérôme Dubus, conseillers de Paris, candidats En marche aux élections sénatoriales ne font plus partie de LR.
Les députés socialistes ont envoyé mardi matin une lettre à leurs collègues LREM pour les inviter à prendre leurs distances avec le projet de loi de Finances examiné à l'Assemblée.
Entre la surenchère sécuritaire LR et le rejet absolu du texte par la France Insoumise, les députés LREM tentent de trouver une voie médiane.
Les sénateurs LR "Constructifs" ont renoncé à faire un groupe autonome à la haute assemblée.
L'élection de dimanche permettra de renouveler la moitié des effectifs du Palais du Luxembourg. La droite devrait conserver la majorité et les équilibres politiques rester peu ou prou les mêmes.
L'arrivée au pouvoir d'une nouvelle génération marque aussi l'apparition d'un nouveau langage politique, qui emprunte beaucoup au monde de l'entreprise, parfois non sans ridicule, et trahit l'entre-soi de la Macronie.
Le groupe REM est réuni en séminaire à Aubervilliers depuis lundi. Objectif : renforcer la cohésion du groupe entre des députés qui ne connaissent pas encore bien.
Les élus de tous bords se réunissent pour des séminaires de rentrée cette semaine. Ceux de la REM se préparent à prévenir tout nouveau couac, tandis que les autres groupes peaufinent leur stratégie.
ENQUÊTE - Nouvelle organisation et nouvelle communication : les députés de la majorité ont passé un été studieux à consolider leur connaissance du système parlementaire et à apprendre à parler aux médias.
Le mode de scrutin, couplé aux premières politiques d'Emmanuel Macron, permettent d'expliquer pourquoi la REM a revu ses prétentions à la baisse pour les élections sénatoriales.
Ancien directeur général de Médecins sans frontières, Stéphane Roques a été choisi par Emmanuel Macron en personne.
Alors qu'"insoumis" et "marcheurs" se préparent à batailler en septembre autour de la réforme du code du Travail, les anciens partis de gouvernement se penchent sur leur avenir.
Les nouveaux statuts du parti La République en marche! ont été largement approuvés par la base militante, jeudi, après près d'un mois de scrutin. Arnaud Leroy, Bariza Khiari et Astrid Panosyan prennent transitoirement la direction collégiale du mouvement.
En Marche! lance une campagne pour demander à ses militants de se faire davantage l'écho de l'action du gouvernement.
Le parti d'Emmanuel Macron est allé à la rencontre des électeurs cet été, armé d'un étonnant fascicule bleu. Parvient-il à convaincre ?
Le collectif des "Marcheurs en colère", qui revendique plusieurs milliers d'adhérents de La République en marche!, souhaite rediscuter les statuts du parti.
Alors que le tribunal de grande instance de Créteil a validé, mardi, la tenue du vote des adhérents de La République en marche!, les militants mécontents qui avaient saisi la justice dénoncent toujours le silence du parti.
Des adhérents de La République en marche! contestaient en justice la tenue du vote sur les statuts du mouvement. Si le tribunal de grande instance de Créteil a validé le scrutin, il le prolonge de 15 jours.
L'été sera studieux pour les députés REM. Critiqués pour leur gestion des débats à l'assemblée, ils vont devoir travailler pour être plus affûtés à la rentrée.
À plusieurs reprises, certains parlementaires de la majorité ont fait preuve d'un amateurisme pointé par l'opposition. Eux revendiquent une phase de rodage.
Certains adhérents s'insurgent contre les statuts du parti, qu'ils ne jugent pas suffisamment démocratiques. De fait, ces derniers ne laissent que très peu de place à sa base.
Les 310 députés de la REM en ont assez d'être vus comme des amateurs, inexpérimentés et inconséquents. Le groupe parlementaire veut prendre des mesures concrètes.