
Corée du Sud - Toute l'info et l'actualité sur Europe 1.
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Ce remplacement s'est fait "immédiatement" après la défection d'un soldat le 13 novembre dernier, selon la presse sud-coréenne.
Un soldat nord-coréen a fui en Corée du Sud le 13 novembre dernier, une course-poursuite enregistrée par la vidéo-surveillance du Commandement des Nations unies en Corée.
Le séisme de magnitude 5,4 a endommagé plus de 1.000 logements, plus d'une centaine d'écoles et fait une soixantaine de blessés.
Bien que la secousse de 5,4 sur l'échelle de Richter ait été ressentie dans l'ensemble du pays, aucune victime n'a été signalée dans l'immédiat.
"Ne nous sous-estimez pas, ne nous mettez pas à l'épreuve", a déclaré Donald Trump devant l'Assemblée nationale sud-coréenne.
Le président américain entame lundi la deuxième étape de sa tournée asiatique.
Dix-huit banquiers nord-coréens, soupçonnés d'avoir partie liée avec les programmes d'armements nord-coréens, ont fait lundi leur entrée sur une liste noire.
Quelques heures avant la visite de Donald Trump dans le pays, des Sud-Coréens ont manifesté leur opposition au président américain.
Malgré les vives tensions entre les deux pays, l'esprit affiché est revendiqué du côté de la Corée du Sud.
Cet exercice intervient moins d'un mois après une démonstration de force nocturne associant les aviations du Japon et de la Corée du Sud.
La flamme olympique est arrivée de Grèce à l'aéroport d'Incheon mercredi sur fond de menace nord-coréenne et d'un engouement mitigé pour ces jeux d'hiver.
Le président sud-coréen a rappelé que Séoul ne développerait ni ne posséderait d'armes nucléaires malgré les menaces de son voisin nord-coréen qui a fait un sixième essai nucléaire début septembre.
Prolifération nucléaire, climat, protectionnisme, multilatéralisme... François Hollande a donné à Séoul sa première conférence d'ex-président de la République. Une nouvelle tribune qui lui a permis de dénoncer la politique étrangère de Donald Trump.
Les avocats de l'ancienne présidente sud-coréenne, sous le coup de 18 chefs d'accusation dont celui de corruption, ont démissionné lundi pour protester contre la prolongation de la détention provisoire de leur cliente.
La Corée du Sud et les États-Unis ont commencé lundi leurs exercices militaires conjoints dans les eaux de la péninsule coréenne, des manœuvres perçues comme "répétition de guerre" par la Corée du Nord.
Pyongyang voit comme une provocation les manœuvres navales auxquelles la Corée du Sud et les Etats-Unis vont participer du 16 au 26 octobre.
Après la visite du Musée du meuble de Séoul dimanche, François Hollande déjeunera lundi avec l'ancien secrétaire général des Nations Unies, Ban Ki-moon.
Jeudi, Laura Flessel avait évoqué la possibilité que la France ne participe pas aux JO d'hiver en Corée du Sud si la sécurité n'était "pas affirmée".
Alors que Donald Trump a annoncé jeudi de nouvelles sanctions à venir contre Pyongyang, la Corée du Sud a appelé à l'apaisement des tensions à la tribune de l'ONU.
Les Jeux olympiques d'hiver doivent se tenir du 9 au 25 février 2018 à Pyeongchang, en Corée du Sud, à 80 km de la frontière avec la Corée du Nord.
Quatre nouveaux lance-missiles américains ont été déployés sur le sol sud-coréen alors que Pékin proteste vigoureusement contre cette militarisation du pays, jeudi.
Le président américain Donald Trump l'a fait savoir dans un tweet, mardi.
Cet exercice naval s'est déroulé mardi en mer du Japon, selon la presse sud-coréenne.
La charge portée par les missiles sud-coréens était jusqu'à présent limitée à 500 kg.
Un éditorial du journal Donga Ilbo considère que la Corée du Sud ne peut plus se satisfaire de la tutelle nucléaire américaine.
Face à la menace grandissante du Nord, Américains et Sud-Coréens renforcent leurs défenses.
La Corée du Nord a dit s'attendre "à ce que la Corée du Nord tire un missile balistique intercontinental".
Le président sud-coréen Moon Jae-In demande à la communauté internationale de renforcer les sanctions contre Pyongyang après l'essai nucléaire réalisé par Pyongyang.
Le président Donald Trump et son homologue sud-coréen ont eu un entretien téléphonique quelques jours après le lancement par la Corée du Nord d'un missile balistique au-dessus du Japon.
L'homme de 53 ans, condamné vendredi, avait indiqué sur la page Wikipédia de Moon Jae-In qu'il était nord-coréen.