

Donald Tusk, le président du Conseil de l'UE, a appelé le gouvernement espagnol à choisir "la force de l'argument plutôt que l'argument de la force".
La chambre haute a déclenché l'article 155 de la Constitution en réplique à la déclaration d'indépendance de la région.
Le chef du gouvernement espagnol a réagi sur Twitter après le vote d'une déclaration unilatérale d'indépendance du parlement de Catalogne.
Le Parlement a entonné l'hymne indépendantiste, en l'absence de l'opposition. La résolution adoptée demande à l'exécutif catalan de négocier sa reconnaissance à l'étranger.
Les séparatistes ont décidé de présenter une résolution pour déclarer l'indépendance de la Catalogne alors que le parlement espagnol est réuni à Madrid pour suspendre l'autonomie de la région.
Le chef du gouvernement espagnol a annoncé la destitution de l'exécutif catalan, quelques heures après la déclaration d'indépendance de la Catalogne. De nouvelles élections régionales auront lieu le 21 décembre.
Alors que le Sénat espagnol devrait autoriser le gouvernement à prendre le contrôle de la Catalogne vendredi, la région pourrait déclarer son indépendance en "réponse à l'agression incarnée par l'article 155" qui permet à Madrid de suspendre l'autonomie catalane.
Le ministre chargé des entreprises au sein de l'exécutif catalan a annoncé sa démission jeudi soir après une journée de montagnes russes politiques.
Le président catalan a refusé jeudi de convoquer des élections régionales anticipées, et laisse le Parlement de Catalogne décider des suites à donner de la mise sous tutelle de la région.
Au moment où l'Espagne attend de connaître les intentions des séparatistes catalans, Carles Puigdemont a finalement choisi de ne pas s'exprimer.
Œillets rouges à la main ou drapeaux indépendantistes noués autour du cou, un cortège de milliers d'étudiants parcourait les rues du centre de la capitale catalane, jeudi.
Les dirigeants catalans pourraient déclarer une indépendance aux conséquences incalculables, jeudi.
Le président indépendantiste du Parlement catalan a affirmé dans un courrier adressé au Sénat que la mise sous tutelle de sa région "dépossédera le peuple de Catalogne de ses institutions".
Des militants pro-indépendantistes des Pyrénées-Orientales offrent l'hospitalité au président Carles Puigdemont pour un gouvernement catalan en exil à Perpignan.
Face à un élu catalan indépendantiste qui l'accusait d'avoir choisi la répression, Mariano Rajoy a estimé que "c'est la seule réponse possible, la seule".
La CUP, un petit parti indépendantiste d'extrême gauche, voit deux scénarios pour mettre fin à la crise entre la Catalogne et Madrid : l'autodétermination ou bien des élections anticipées.
L'objectif du changement de siège social était de montrer que "la solidité de CaixaBank se maintiendrait dans n'importe quel scénario, et que nous resterons toujours dans le cadre de la zone euro", a expliqué le directeur général.
Les deux régions italiennes ont largement voté favorablement à plus d'autonomie, dimanche. Mais il convient de bien faire la différence avec ce qu'il se passe en Catalogne.
Le gouvernement central menace notamment de suspendre les pouvoirs politiques du président catalan.
Cette séance plénière interviendra à la veille de la mise sous tutelle de la région prévue par Madrid.
La tension monte de jour en jour en Catalogne mais certains continuent d'espérer qu'une sortie de crise est encore possible.
Crise espagnole, montée de l’extrémisme en Europe, course à l'armement nucléaire... Dans un entretien au "Journal du Dimanche", le ministre des Affaires étrangères dresse la liste des menaces qui pèsent sur la scène internationale.
Carles Puigdemont a réagi samedi soir aux annonces de Mariano Rajoy. Le Premier ministre a demandé samedi midi au Sénat de suspendre de ses fonctions le gouvernement catalan.
La Vénétie et la Lombardie organisent dimanche un référendum sur leur indépendance. Annoncé en mars dernier par les dirigeants de ces deux régions issus de la Ligue du Nord, parti d'extrême droite, il sera purement consultatif et n'aura aucune valeur légale.
450.000 personnes ont manifesté samedi à Barcelone pour défendre le gouvernement catalan.
Cette dernière attaque a eu lieu peu avant que le Premier ministre espagnol n'annonce la mise en place de l'article 155, un article de la Constitution jamais utilisé encore, afin de reprendre le contrôle de la Catalogne.
"Le Barça a toujours été aux côtés du peuple de Catalogne et de ses institutions. Aujourd'hui, face à l'application de l'article 155 (de la Constitution), nous devons réaffirmer notre soutien absolu aux institutions démocratiques de Catalogne choisies par ses citoyens", a déclaré le...
Les prérogatives de l'administration catalane vont être transférées au gouvernement central espagnol.
Le gouvernement espagnol compte reprendre la main sur une partie des compétences accordées à la Catalogne, avant de convoquer des élections d'ici la fin janvier.
Le président du Parlement européen a prononcé un sévère réquisitoire vendredi en Espagne contre "ceux qui sèment la discorde", en visant les séparatistes catalans.