

D'après Daniel Cohn-Bendit, Madrid rend "un fier" service aux indépendantistes catalans en les poursuivant ainsi. Ces derniers "vont faire jouer la grande symphonie du martyr dans la campagne électorale" jusqu'aux élections de décembre.
La Chambre du Conseil statuera une première fois le 17 novembre afin d'analyser le mandat d'arrêt de la justice espagnol visant Carles Puigdemont.
Le président catalan a jugé "injuste" l'emprisonnement de plusieurs membres de son gouvernement destitué.
Après qu'il s'est rendu de lui-même aux autorités dimanche, Carles Puigdemont a été laissé libre mais sous certaines conditions, comme l'interdiction de quitter le territoire belge.
Différents sondages traitant des futures élections régionales en Catalogne laissent entendre que les indépendantistes pourraient perdre leur majorité absolue.
Carles Puigdemont et ses quatre conseillers se sont rendus à la police belge, a indiqué dimanche le parquet de Bruxelles.
L'ancien chef du gouvernement français, né à Barcelone, a regretté dimanche sur Europe 1 qu'une telle crise soit survenue en Catalogne.
À l'occasion d'un match contre le Séville FC, les supporters catalans ont déployé des banderoles de soutien aux membres du gouvernement régional incarcérés.
L'Espagne a émis un mandat d'arrêt européen envers le président catalan destitué qui se trouve actuellement à Bruxelles. Une procédure bien encadrée face à laquelle Carles Puigdemont a peu de marges de manœuvre.
Dans une interview à la télévision belge, le président destitué de la Catalogne Carles Puigdemont a indiqué être disposé à être candidat aux élections régionales organisées du 21 décembre.
Vendredi soir, la justice espagnole a affirmé avoir lancé un mandat d'arrêt européen contre le président destitué de la Catalogne Carles Puigdemont. La Belgique va "étudier" ce mandat.
La présence du président déchu de Catalogne à Bruxelles pourrait compliquer les relations entre l'Espagne et la Belgique, qui doit aussi faire face au mouvement d'émancipation flamand.
Le président catalan destitué s'est brièvement exprimé dans une intervention télévisée, depuis la Belgique.
Un neuvième homme, qui avait démissionné avant la déclaration d'indépendance sera libéré sous caution.
Le président catalan destitué et quatre des ses "ministres" sont visés par la demande du parquet espagnol.
Le procureur général a demandé jeudi que tous soient inculpés pour détournement de fonds publics, sédition et rébellion.
Alors que la justice espagnole attend désormais de pouvoir entendre les membres du gouvernement indépendantiste déchu en Catalogne, l'ex-président Carles Puigdemont se trouve toujours à Bruxelles.
Des dirigeants sécessionnistes catalans se sont présentés jeudi à Madrid au tribunal pour être entendus par des juges, mais l'audience a été ajournée.
Comme prévu, Carles Puigdemont, le président indépendantiste catalan destitué par Madrid, ne s'est pas présenté jeudi devant la justice espagnole.
Henry de Laguérie revient chaque matin sur un évènement international au micro d'Europe 1 Bonjour.
La justice espagnole a convoqué mardi Carles Puigdemont et treize de ses "ministres". Ils sont appelés à comparaître jeudi et vendredi en vue de leur inculpation.
La justice espagnole souhaite entendre les membres du gouvernement indépendantiste déchu de la Catalogne, mais son ex-président, Carles Puigdemont, est toujours à Bruxelles.
Carles Puigdemont et ses ministres devront comparaître jeudi et vendredi devant la justice espagnole.
Le président catalan destitué a annoncé mardi qu'il s'était déplacé en Belgique avec une partie de son gouvernement "par sécurité".
Carme Forcadell va être prochainement convoquée devant la Cour suprême en vue de son inculpation après la déclaration d'indépendance de la région espagnole.
Le parlement de Barcelone s'était prononcé vendredi pour l'ouverture d'un "processus constituant" pour l'indépendance.
Le président destitué de la Catalogne Carles Puigdemont, visé par une procédure judiciaire en Espagne, s'est exprimé mardi, en français, en catalan et en castillan, lors d'une conférence de presse à Bruxelles.
Une inspection est menée dans le cadre d'une enquête sur le référendum d'autodétermination du 1er octobre interdit par Madrid.
L'ex-président de la Catalogne est à Bruxelles, où une prise de parole est attendue mardi à la mi-journée. Pendant qu'il est traqué dans la capitale belge, la population catalane lui reste fidèle et approuve ce départ.
Carles Puigdemont a pris contact lundi avec un avocat belge, ancien défenseur de Basques espagnols membres présumés de l'ETA.