Bangladesh

La petite fille serait la première personne de sexe féminin affectée par le syndrôme de "l'homme-arbre". Âgée de 10 ans, elle a été opéré mardi, avec succès.

Abul Bajandar pourra bientôt quitter l'hôpital après avoir été opéré 16 fois, afin de lui retirer ses verrues géantes qui l'empêchaient de vivre normalement.

L'enfant que cette femme portait dans ses bras lorsqu'elle a activé sa veste explosive a été blessé. 

Une usine d'emballage vestimentaire des environs de Dacca s'est embrasée samedi après l'explosion d'une chaudière.

Selon John Kerry, les attentats perpétrés au Bangladesh ces dernières semaines sont liées à l'Etat islamique.

La police bangladaise pourrait avoir neutralisé l'organisateur de l'attaque meurtriète de juillet dans un café.

Il s'agit de la première personne formellement arrêtée dans le cadre de cet attentat perpétré dans la capitale du Bangladesh.

Depuis sa naissance, le petit garçon, né avec un excès de peau, a les traits d'un vieil homme. Il est atteint d'une maladie que les médecins n'ont toujours pas réussi à diagnostiquer. 

Moussa Ibn Yacoub, détenu au Bangladesh depuis le 19 décembre pour "activités suspectes", est arrivé dimanche en France.

Moussa Ibn Yavoub, un humanitaire originaire de Seine-Saint-Denis, était retenu depuis sept mois au Bangladesh qui avait estimé sa présence sur le territoire illégale.

L'homme est soupçonné d'avoir loué son appartement aux responsables de l'attaque de Dacca qui a fait 20 morts début juillet.

Le corps portait des marques de torture. 

Plusieurs explosions et une fusillade ont eu lieu jeudi lors d'un rassemblement fêtant l'Aïd el-Fitr, dans le nord du Bangladesh. Deux policiers et une femme ont été tués.

Imtiaz Khan Babul a expliqué qu'il n'y avait "rien à la maison, pas de livres, rien qui puisse laisser entendre" que son fils était devenu un djihadiste. 

Un huitième Japonais, blessé dans cet attentat survenu vendredi soir, est aussi revenu au Japon mais par un autre avion. 

Bine que revendiquée par l'EI, l'attaque qui a fait 20 morts dans une fusillade au Bangladesh aurait été conduite par un groupe local interdit depuis plus d'une dizaine d'années, selon les autorités.

La personne portée disparue se trouvait dans le restaurant au moment de l'attaque mais n'a pas été identifiée parmi les 20 victimes

"Les Etats-Unis condamnent dans les termes les plus forts l'horrible attaque terroriste de Dacca, Bangladesh", a commenté le porte-parole de la Maison Blanche,=.

Des preneurs d'otages ont tué 20 étrangers, la plupart à l'arme blanche, dans un restaurant de Dacca au Bangladesh 

Une fusillade nourrie a éclaté vendredi soir dans un restaurant du quartier diplomatique de Dacca, la capitale du Bangladesh.

L'État islamique a revendiqué vendredi la fusillade et la prise d'otages dans le quartier diplomatique de Dacca, au Bangladesh, qui a fait au moins vingt morts du côté des civils. Les forces de police ont lancé l'assaut samedi matin, tuant six des assaillants et libérant 13 otages. 

Un garçon indien de 12 ans, enlevé à New Delhi il y a six ans et exploité comme esclave domestique au Bangladesh, a été retrouvé et ramené à sa famille jeudi.

Ce meurtre est le dernier d'une série d'assassinat commis contre des membres de minorités religieuses par le groupe Etat islamique et la branche locale d'Al-Qaïda. 

Deux personnes, dont un militant gay travaillant à l'ambassade américaine de Dacca, ont été assassinées à coup de machette, par six personnes. 

L'organisation islamiste a revendiqué l'assassinat du professeur d'anglais en raison "des appels du professeur en faveur de l'athéisme".

En février, la Banque centrale du Bangladesh s'est vu dérober quelque 80 millions de dollars. Elle aurait pu perdre davantage sans la faute de frappe de ses braqueurs. 

Moussa Ibn Yacoub était détenu au Bangladesh depuis le 22 décembre pour "activités suspectes".

 L'opération qui visait à le débarrasser des excroissances sur sa main droite a duré trois heures et demie et a mobilisé une équipe de neuf médecins.

Cette maladie de peau génétique rarissime, communément appelée "la maladie de l'homme-arbre", couvre celui qui la contracte de verrues aux allures d'écorce. 

Le travailleur humanitaire de l'ONG Baraka City reste en prison, malgré une décision judiciaire validant sa libération sous caution lundi.