Avec le challenge #BestMuseumBum, les musées affichent leurs plus belles fesses

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Pauline Rouquette
C'est un challenge un peu particulier qui a été lancé, fin juin, par le musée archéologique de Yorkshire au Royaume-Uni. Il s'agit de publier les plus belles, ou les plus originales, photos de fesses des statues de l'établissement. Depuis les musées du monde entier - et les internautes - s’y mettent. 

Les fesses de musées s'affichent sur internet. Alors que la fréquentation des musées est en baisse dans le monde entier, ces derniers se sont lancés dans une drôle d’initiative : celle de présenter sur les réseaux sociaux les plus belles paires de fesses de leurs collections. Depuis, nombreux sont les musées à avoir effectué une sélection au sein de leurs œuvres.

Château de Vitré, Quai Branly, Arts et métiers...

C'est le conservateur d'un musée archéologique de Yorkshire, au Royaume-Uni, qui a lancé, fin juin, le challenge #BestMuseumBum (#LaPlusBellePaireDeFessesDeMusée). Ce dernier a posté sur Twitter la photo d'une statue de son musée, représentant un athlète romain de dos et dénudé. Immédiatement après la diffusion de ce fessier de marbre, des conservateurs du monde entier ont suivi le mouvement, postant tour à tour des photos de fessiers issus de leurs musées.

Petites, grosses, avachies, amochées, tombantes, "à fossettes", musclées... Les qualificatifs employés par Pierre Perret dans sa chanson "Le Zizi" s'appliquent volontiers aux paires de fesses de musées, dévoilées sur Twitter et Instagram. En France, le château de Vitré en Bretagne, ou encore le musée des Arts et métiers à Paris, ont participé à ce challenge. C'est aussi le cas du musée du Quai Branly-Jacques Chirac, qui a affiché sur Twitter le "moulage en silicone d'un dos masculin tatoué" et son "motif inspiré de la tradition japonaise du théâtre nô".

En avril, le musée archéologique de Yorkshire avait déjà lancé un premier challenge. Celui-ci consistait à partager les objets les plus effrayants présents dans les collections.