Le premier souvenir de supporter de Kingsley Coman remonte au quart de finale du Mondial 2006 France-Brésil

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Ne me dites pas que ça ne vous fait rien de voir ce visage, ce maillot... © PASCAL PAVANI / AFP
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Le premier souvenir de supporter de Kingsley Coman remonte au quart de finale du Mondial 2006 France-Brésil. 

Pour toute une génération de footballeurs actuels, France 98 n'est même pas un souvenir. Kingsley Coman n'avait que 2 ans quand Deschamps, Zidane et les autres gagnaient "pour l'éternité". L'attaquant du Bayern Munich, qui fait partie des 23 joueurs tricolores sélectionnés pour l'Euro, a dû attendre le Mondial 2006 pour se créer ses premiers souvenirs. 

"En famille devant la télé". Comme des millions de fans des Bleus, les premiers matches, c'est dans le canapé du salon familial, devant la télé. "On regardait toujours les matches avec mes parents, ma famille, mes cousines", raconte Kingsley Coman dans une vidéo publiée mardi sur le site de la Fédération française de football (FFF). Premier souvenir marquant ? "Contre le Brésil, quand ils étaient passés en quarts de finale, en 2006 (il hésite)". 


Lors de la Coupe du monde en Allemagne, le jeune Kingskey avait 10 ans. Suffisant pour stresser pendant les matches de poule (0-0 contre la Suisse, 1-1 contre la Corée du Sud et 2-0 face au Togo), vibrer en huitièmes de finale contre l'Espagne (victoire 3-1), admirer le chef d'oeuvre du maître Zidane en quarts contre le Brésil (victoire 1-0), prier en demie contre le Portugal (victoire 1-0). Et enfin pleurer pour vous savez quoi. 

Oui aux critiques mais "constructives". Toujours dans cette vidéo, Kingsley Coman donne sa définition du "vrai" supporter. "C'est quelqu'un qui supporter dans la victoire et la défaite", estime l'attaquant des Bleus. "On a le droit de critiquer mais cela doit être des critiques constructives. Critiquer parce que l'équipe a perdu une seule fois, je ne pense pas que ce soit une bonne chose". 

 

[BONUS] On ne peut décemment vous laisser comme ça. On vous a parlé du Mondial 2006, du quart de finale magique de Zidane. Le moins qu'on puisse faire, c'est vous offrir le caviar du maître et la reprise de Thierry Henry. C'est cadeau.