Six jours après la décision de la Fédération anglaise de football de le poursuivre après sa "quenelle" réalisée le 28 décembre dernier contre West Ham, Nicolas Anelka a twitté plusieurs messages, lundi. Dans le premier d'entre eux, il explique avoir suscité l'intérêt de la... Lazio.
Thanks to Lazio & all the others clubs who wanted to sign me this last days. See you this summer if I decide to continue...— nicolas anelka (@anelkaofficiel) January 27, 2014"Merci à la Lazio et aux autres clubs qui ont voulu me faire signer ces derniers jours. Rendez-vous cet été si je décide de continuer."
Compte-tenu des circonstances, l'intérêt de la Lazio peut légitimement interpellé. En effet, le club romain a souvent défrayé la chronique en raison du radicalisme politique de certains de ses supporters. L'un de ses joueurs emblématiques, Paolo Di Canio, aujourd'hui manager de Sunderland, en Angleterre, s'était également fait remarquer par des saluts fascistes adressés à la frange la plus dure des supporters "laziales". Dans ses deux messages suivants, Anelka explique qu'il n'a pas vraiment de raison de quitter l'Angleterre.
"Mais la question est pourquoi je devrais quitter mon club et l'Angleterre ? Je suis heureux ici et je n'ai rien fait de mal", s'interroge-t-il. "Donc, maintenant, il est temps de rester concentré sur mon football avec mon club et je vais essayer de donner mon meilleur sur le terrain comme je l'ai toujours fait." En 11 matches sous les couleurs de West Bromwich Albion, Anelka n'a marqué que deux buts...
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