Après les huitièmes de finale, cet Euro va commencer à devenir vraiment intéressant pour les Bleus. Et ce, pour deux raisons. Parce qu'après des matches contre des équipes vraiment à leur portée, on verra ce que les joueurs de Didier Deschamps auront dans le ventre - d'autant qu'ils pourraient rencontrer les Anglais en quarts. Financièrement, la compétition deviendra aussi attrayante économiquement après les huitièmes.
Aucune prime en cas de défaite en huitièmes. Au moment de la négociation de ces primes, début juin, le président de la Fédération française de football (FFF) Noël Le Graët avait annoncé que les Bleus ne toucheraient aucune prime en cas de défaite au stade des huitièmes de finale. S'ils passent ce cap mais qu'il perdent en quarts, les 23 joueurs toucheraient chacun 165.000 euros.
Défaite en quarts de finale = 165.000 euros
Défaite en demi-finales = 210.000 euros
Défaite en finale = 250.000 euros
Victoire finale = 300.000 euros
Pour rappel, l'UEFA accorde 8 millions d'euros à chaque sélection présente au début de la compétition, auxquels s’ajoutent 1 million d'euros par victoire en poule ou 500.000 euros par match nul. Pour les huitièmes de finales, la gratification s'élève à 1,5 million d'euros, 2,5 millions d'euros pour les quarts, 4 millions d'euros pour les demis, 5 millions d'euros pour la finale et 8 millions d'euros pour le vainqueur de l'Euro.