Euro 2016 : la première semaine en 10 gifs

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Après sept jours de compétition et 18 matches, voici ce qui a attiré notre attention. 

Depuis les dernières minutes extrêmement crispantes du match d’ouverture entre la France et la Roumanie et la confrontation légèrement soporifique entre l'Allemagne et la Pologne, il s’est passé pas mal de choses. L’Euro a débuté depuis une semaine et on a déjà envie de jeter un coup d’œil dans le rétro.

1. Dimitri Payet libère les Bleus. On joue la 89e minute, vendredi dernier au Stade de France. La France et la Roumanie sont à égalité et se dirigent vers un match nul. Les 80.000 spectateurs du Stade de France retiennent leur souffle quand Dimitri Payet expédie un missile du gauche en pleine lucarne. Victoire française (2-1) et hystérie collective.

2. Et Payet craqua. Faire lever tout un stade, forcément, ça file un peu les miquettes. Dans le bon sens du terme mais quand même. Quand Didier Deschamps le rappelle sur le banc, l’ancien Marseillais ne supporte pas l’ovation et fond en larmes.

3. Et pendant ce temps-là Benzema… Fair play, Karim Benzema a tenu à souhaiter "bonne chance" à ses partenaires. L’attaquant du Real Madrid a posté une photo de lui devant France-Roumanie. La solitude, ça pèse.

4. Les supporters anglais entrent en scène. Deuxième jour de compétition. A Marseille les supporters anglais se battent avec les Russes. Beaucoup de blessés, de nombreuses interpellations et un sentiment de grand n’importe quoi.

5. Le supporter n’est pas forcément un bœuf. De cette première semaine, on retiendra ce fan croate entré sur la pelouse du Parc des Princes pour célébrer le but avec les joueurs.

6. La classe selon Joachim Löw. Pris la main dans le sac, le sélectionneur allemand. Pour le premier match de la Mannschaft, on retiendra le score (2-0), contre l’Ukraine et la doublette entrejambe-nez de Joachim Löw.

7. La leçon italienne. La Belgique, totalement passée à côté de son premier match, retiendra la leçon italienne. Une équipe qui joue en bloc, une défense compacte et des attaquants qui ne tremblent pas. Vous avez dit réalisme ?

8. La résistance islandaise. Cristiano Ronaldo n’aime pas vraiment les bus islandais. Pour leur première participation à un Euro, les insulaires ont tenu en échec le Portugal (1-1). Un exploit qui repose sur une immense solidarité.

9. La "sarabande habituelle" de Pogba. Quoi, un bras d’honneur de Paul Pogba après le deuxième but de Dimitri Payet, mercredi soir contre l’Albanie ? Ah, non pardon, il s’agissait de sa "sarabande habituelle". Au Lab Euro aussi, on fait notre petite "sarabande" le matin. 

10. Le premier 0-0 du tournoi. On avait laissé la Ligue 1 au mois de mai. On pensait vraiment en avoir terminé avec les purges de 90 minutes. Les Allemands et les Polonais nous ont prouvé le contraire.