Pour la première rencontre du défenseur des communes soutenu par le Parti des travailleurs avec ses sympathisants franciliens, pas de drapeau tricolore, pas de musique enregistrée ni de mise en scène audio-vidéo pour rythmer la parole des intervenants.Tout au long des discours - des maires, deux syndicalistes, une psychologue syndicaliste allemande, une étudiante à Paris III se sont notamment exprimés -, il est question de camarades, de lutte des classes, de chômage, d'emplois , du maintien des petites écoles dans les communes et de la suppression du financement public de l'enseignement privé. Au programme également le travail avec comme sujets abordés les grèves et la situation d'Airbus et des banques. Gérard Schivardi a également abordé l'obligation faite par les autorités électorales de se présenter désormais comme le candidat "de" maires et non plus comme le "candidat des maires", puisqu'il ne peut se prévaloir que d'un demi-millier de soutiens municipaux. La réimpression des affiches et des professions pour ce "s" de trop laisse un trou de 300.000 euros. Il en a profité pour lancer un appel à la générosité financière.