François Fillon veut faire de 2017 "l'année du redressement" et fait fi du "mur des critiques"

"Nous sommes en guerre. Et dans cette guerre, nous n'avons pas le droit d'être faibles, nous devons être implacables face au totalitarisme islamique", a souligné François Fillon dans ses voeux.
"Nous sommes en guerre. Et dans cette guerre, nous n'avons pas le droit d'être faibles, nous devons être implacables face au totalitarisme islamique", a souligné François Fillon dans ses voeux. © MARTIN BUREAU / AFP
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avec AFP
"Je suis candidat pour construire avec vous une Nation libre et puissante. Le mur des critiques ne nous arrêtera pas", déclare samedi l'ancien Premier ministre dans une vidéo ainsi que sur sa page Facebook.

François Fillon, candidat de la droite à la présidentielle, entend faire de 2017 "l'année du redressement" et assure que "le mur des critiques" contre son projet, notamment sur la Sécurité sociale et les coupes dans la fonction publique, ne "l'arrêtera pas".

"La vérité ne vous fait pas peur". "Je suis candidat pour construire avec vous une Nation libre et puissante. Le mur des critiques ne nous arrêtera pas", déclare samedi l'ancien Premier ministre dans une vidéo ainsi que sur sa page Facebook.

"La vérité ne vous fait pas peur, vous êtes courageux, vous avez une énergie exceptionnelle: je veux vous rendre le pouvoir d'entreprendre, de créer et de réaliser vos projets car c'est ainsi que la France retrouvera la croissance et le plein emploi pour que la vie de chacun soit meilleure", ajoute-t-il en souhaitant que "2017 soit l'année du redressement".

"Nous sommes en guerre". "Au moment de refermer l'année 2016", l'ancien Premier ministre "pense aux victimes de l'attentat de Nice", "au Père Hamel", "au couple de policiers de Magnanville" et "à celles et ceux qui ont été lâchement assassinés à Berlin il y a quelques jours". "Nous sommes en guerre. Et dans cette guerre, nous n'avons pas le droit d'être faibles, nous devons être implacables face au totalitarisme islamique", souligne-t-il.