Attentats en Catalogne : nombreux hommages de la classe politique française

Le Premier ministre Edouard Philippe a présenté ses "condoléances au peuple espagnol", vendredi.
Le Premier ministre Edouard Philippe a présenté ses "condoléances au peuple espagnol", vendredi. © AFP
  • Copié
avec AFP , modifié à
Edouard Philippe a présenté vendredi ses "condoléances au peuple espagnol" face au "drame terrible qui a frappé Barcelone et la région catalane" et promis une "coopération maximale et totale" de la France.

Les hommages ont continué de la part de la classe politique française, au lendemain de la double attaque au camion à Barcelone et à Cambrils en Espagne qui a fait 14 morts et plus de cent blessés. Emmanuel Macron, président de la République a écrit sur son compte Twitter que "la France paie un lourd tribut dans cette terrible attaque de #Barcelone. Plein soutien aux victimes, à leurs familles et à leurs proches". 

"L'Espagne touchée au coeur". Manuel Valls, député de l'Essonne, né à Barcelone, a réitéré sa "solidarité" aux victimes et son soutien "aux autorités espagnoles et catalanes contre le terrorisme" dans deux tweets, l'un en espagnol, l'autre en catalan.  Jean-Luc Mélenchon, député La France insoumise a évoque pour sa part un "ignoble assassinat perpétré par des lâches". "L'Espagne touchée au coeur...La France touchée dans la chair de ses enfants à #Barcelone...Unis contre le terrorisme nous vaincrons", a écrit Jean-Baptiste Lemoyne, secrétaire d'Etat auprès du ministre de l'Europe et des Affaires étrangères sur son compte Twitter.

"Un drame terrible". Vendredi, le Premier ministre Edouard Philippe a présenté ses "condoléances au peuple espagnol" face au "drame terrible qui a frappé Barcelone et la région catalane" et promis une "coopération maximale et totale" de la France, lors d'un déplacement dans le Gers. "Ca n'est pas la première fois qu'une ville de fête, de liberté, de culture, est frappée par un attentat aveugle et terrible et à chaque fois nous revivons ce que nous avons connu en France et nous constatons la même terreur, le même drame, la même tristesse, parfois aussi même la même incompréhension", a-t-il poursuivi.