Le procès aux prud'hommes de Maïtena Biraben contre Canal+ reporté en juin

"J'attends seulement mon rendez-vous aux prud'hommes le 1er mars 2018. C'est là que je réglerai mes problèmes légaux avec Canal+ et Vincent Bolloré", avait expliqué Maïtena Biraben.
"J'attends seulement mon rendez-vous aux prud'hommes le 1er mars 2018. C'est là que je réglerai mes problèmes légaux avec Canal+ et Vincent Bolloré", avait expliqué Maïtena Biraben. © AFP
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avec AFP , modifié à
Maïtena Biraben avait été écartée du "Grand journal" à l'été 2016 au bout d'une saison après de fortes chutes d'audience. Elle s'était vue notifier une procédure de licenciement pour "faute grave".

Le procès aux prud'hommes de Maïtena Biraben contre son ex-employeur Canal+, qui l'avait licenciée pour "faute grave" à l'été 2016, a été renvoyé au 25 juin, a annoncé l'animatrice jeudi sur Twitter. "Suite aux 20 minutes de retard de l'avocat de Canal, renvoi du procès de prud'hommes au 25 Juin 2018 - 9h", a-t-elle écrit sur son compte Twitter. L'audience était initialement prévue jeudi matin. Contacté, Canal+ a confirmé le report, précisant que "c'était la décision du conseil des prud'hommes". 

Une procédure liée au contrat que l'actrice avait conclu. Aujourd'hui animatrice sur la radio RMC, Maïtena Biraben avait été écartée du "Grand journal" à l'été 2016 au bout d'une saison après de fortes chutes d'audience. Elle s'était vue notifier une procédure de licenciement pour "faute grave" par le groupe Canal+, suite à un désaccord sur sa clause de sortie. Selon le site Les Jours, qui avait révélé l'information, la procédure était liée "au contrat mirobolant" que l'animatrice avait conclu en 2008 avec la chaîne cryptée, et "aux indemnités conséquentes" prévues en cas de licenciement, "sauf en cas de faute grave ou lourde".

"Je demande l'application de la loi". "J'attends seulement mon rendez-vous aux prud'hommes le 1er mars 2018. C'est là que je réglerai mes problèmes légaux avec Canal+ et Vincent Bolloré. Dans une cour de justice. Pas dans la presse ou dans un talk-show. Ce que je demande, c'est l'application de la loi, que le contrat que j'ai signé soit honoré", avait-elle confiée au Figaro en septembre 2017.