Brigitte Macron s'est confiée à "Elle" avec "un vrai désir d'être entendue"

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© AXEL SCHMIDT / POOL / AFP
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Guillaume Genton, édité par R.Da. , modifié à
Le magazine "Elle" publie vendredi une interview fleuve de Brigitte Macron, la première depuis la fin de la campagne présidentielle. Constance Binqué, directrice générale du magazine, dévoile les coulisses de cette rencontre.

Elle s'exprime pour la première fois depuis l'élection présidentielle. Brigitte Macron accorde une longue interview au magazine Elle à paraître vendredi. L'épouse du président de la République sort de son silence tout au long de dix pages de confidences dans une interview exclusive, dans laquelle elle précise notamment son rôle de première dame qui sera défini par une charte de transparence et sans rémunération.

Un moment privilégié avec la première dame. Cette interview était en préparation depuis plusieurs semaines et c'est finalement fin Juillet qu'elle a été bouclée. "L'interview a été réalisée à l'Elysée, dans son bureau, elle a répondu avec beaucoup de franchise aux questions des journalistes, avec humour parfois, avec un vrai désir d'être entendue, bien comprise", rapporte auprès d'Europe 1 Constance Binqué, directrice générale du magazine.

Un entretien au cours duquel la première dame évoque "son éducation, son enfance, son métier d'enseignante, les auteurs qu'elle aime, la campagne, la prise de fonction, la mode, ses engagement bien sûr et la famille, qui est très importante pour elle", détaille la journaliste.

" La meilleure partie de moi-même "

Brigitte Macron se risque également à parler de sa relation avec Emmanuel Macron : "Elle dit de très jolies choses là-dessus, sur le début de sa rencontre aux cours de théâtre, leur complicité et la façon dont ils sont complémentaires l'un avec l'autre". Le président lui-même a fait une brève apparition pendant l'interview de sa femme. "Il a passé une tête très rapide, mais bienveillante, en disant cette phrase qui m'a frappée : 'je vous laisse la meilleure partie de moi-même'", conclut Constance Binqué.