Nicolas Sarkozy a déclaré lundi, à l'issue d'un Conseil européen, qu'il était opposé a une mise sous tutelle de la Grèce par l'Union européenne et il a assuré que c'était aussi la position de la chancelière allemande Angela Merkel.
Le chef de l'Etat français a estimé qu'un "accord définitif" sur le sauvetage financier de la Grèce interviendrait dans "les quelques jours qui viennent" et que les négociations se passaient bien.
"Qu'il y ait une surveillance, c'est tout à fait normal, mais il ne peut être question de mettre quelque pays que ce soit sous tutelle", a-t-il ajouté.