Attentat de Londres : Macron dit "son affection" et sa "solidarité" aux familles des blessés français

Le président français s'est entretenu dimanche après-midi avec les familles des quatre Français blessés dans l'attentat de Londres.
Le président français s'est entretenu dimanche après-midi avec les familles des quatre Français blessés dans l'attentat de Londres. © AFP
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avec AFP
Le président français s'est entretenu dimanche après-midi avec les familles des Français blessés dans l'attentat de Londres. 

Emmanuel Macron s'est entretenu dimanche après-midi avec les familles des quatre Français blessés dans l'attentat de Londres, les assurant de "son affection" et de "la pleine solidarité du pays dans cette épreuve", a indiqué l'Elysée dans un communiqué.

"Les appels avec les familles sont en cours et le président de la République a d'ores et déjà pu s'entretenir avec un certain nombre d'entre elles", a précisé la présidence française, peu avant 18h. Il a "exprimé la pleine solidarité du pays dans cette épreuve, aux familles et aux proches ainsi que son affection", a-t-on ajouté de même source. Le chef de l'État a également "fait le point avec eux sur leurs besoins et la situation de leur famille et rappelé que la France était à leurs côtés dans cette épreuve".

Un Français tué dans l'attentat. Auparavant, Emmanuel Macron avait eu un entretien à la mi-journée avec la Première ministre britannique Theresa May. Celle-ci s'est notamment engagée à "donner toutes les informations sur les victimes (françaises) et à assurer et garantir la sécurité" des Français résidant à Londres, qui votent ce dimanche pour les élections législatives des 11 et 18 juin. Quatre Français ont été blessés, dans l'attentat de Londres qui a fait samedi soir au moins sept morts et une cinquantaine de blessés. Dimanche soir, le ministère des Affaires étrangères a annoncé la mort d'un Français, tué dans l'attentat.

Le Premier ministre Édouard Philippe et Jean-Yves Le Drian, ministre des Affaires étrangères, se sont rendus à la mi-journée au centre de crise du Quai d'Orsay.  La section antiterroriste du parquet de Paris a par ailleurs ouvert une enquête après l'attentat meurtrier dans le cœur de Londres.