Saint-Brieuc : ils revendaient les chrysanthèmes volés sur les tombes

Les enquêteurs pensent que les malfrats ont dérobé les bouquets sur les tombes.
Les enquêteurs pensent que les malfrats ont dérobé les bouquets sur les tombes. © AFP
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Une fleuriste s'est rendu compte que les vendeurs de l'étal d'à-côté vendaient… ses propres bouquets.

Pour certains malfrats, la Toussaint n'est pas un jour férié. C'est même l'occasion de commettre de nouveaux larcins. Mardi matin, une fleuriste qui vendait des chrysanthèmes devant un cimetière de Saint-Brieuc dans les Côtes-d'Armor, s'est aperçue que les vendeurs de l'étal d'à-côté monnayaient des bouquets portant l'étiquette… de sa propre boutique.

Selon Ouest-France, qui rapporte cette histoire étonnante, les malfaiteurs se sont enfuis après avoir compris qu'ils avaient été repérés, laissant sur place une centaine de bouquets. Mais comment ont-ils dérobé ces fleurs ? La commerçante n'ayant pas été cambriolée, les enquêteurs penchent pour un pillage de tombes dans les jours précédant la Toussaint.