2:27
  • Copié

L’essentiel de l’actualité sportive présenté par Jérôme Lacroix.

À la Une ce matin, ces quelques notes de musique.

Si vous êtes fan de foot, vous avez reconnu l'hymne de la grande Coupe d'Europe de football. La Ligue des champions reprend ses droits, ce soir et le Paris Saint-Germain sera déjà à l'affiche. Le PSG reçoit les Londoniens d'Arsenal, c'est la plus forte des trois équipes à affronter dans ce premier tour. L'objectif pour Paris est de bien démarrer, parce que les patrons qataris visent au moins une demi-finale, après quatre échecs consécutifs en quarts. Mais cette saison, une flopée de doutes entoure l'effectif parisien, qui n'a plus gagné depuis deux matches. Toutefois l'historique entraîneur d'Arsenal, le Français Arsène Wenger, appelle à ne pas faire cas de cette supposée fébrilité au de Simon Ruben pour Europe 1. 

PSG-Arsenal, c'est l'affiche du jour avec un coup d'envoi donné à 20h45. Une rencontre à laquelle l'une des stars parisiennes, Hatem Ben Arfa, ne participera pas puisqu'il n'a pas été retenu, à la surprise générale, par le nouvel entraîneur parisien, l'Espagnol Unai Emery.

Le mot "sport" du jour.

"Lame". C'est ainsi que se nomme la prothèse que porte Marie-Amélie Le Fur. L'athlète paralympique, amputée sous le genou de la jambe gauche, a courru plus vite que tout le monde, hier soir, sur 400 mètres à Rio de Janeiro. Elle apporte donc à la France une troisième médaille d'or, sa deuxième personnelle. Ajoutez à cela, deux médailles d'argent en tennis de table et en haltérophilie, le pécule tricolore grimpe ce matin à 11. La France est 17e au tableau des médailles.

 

On finit avec l'histoire du jour.

Michel Platini, le retour ! L'ancienne gloire des Bleus, pourtant banni quatre ans du monde du football, pour avoir perçu un peu moins de deux millions d'euros de la FIFA, neuf ans après une mission de conseiller, a été autorisé par la Fédération internationale à se rendre, demain à Athènes à l'élection de son successeur à la tête de l'UEFA, l'Europe du foot. Il pourra même prononcer un discours devant le congrès. Une décision qui provoque la colère des Allemands dont le président de la Fédération a déclaré que ce congrès devait "être marqué par le programme du nouveau président, et non par les erreurs de son prédécesseur".