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Dans une longue interview à TéléObs, Aymeric Caron s'exprime sur son avenir après "On n'est pas couché". 

A la une des médias lundi  :

-          Aymeric Caron s'exprime sur son avenir

Dans une longue interview accordée à TéléObs, le chroniqueur Aymeric Caron est revenu sur son départ de l'émission "On n'est pas couché" sur France 2 après trois ans de bons et loyaux services. Il sera remplacé par l'écrivain Yann Moix. Le chroniqueur a évoqué ses différents clashs avec les invités sur le plateau de "On n'est pas couché".  "Je dois avouer qu'arrêter ONPC est de ce point de vue un soulagement", a-t-il affirmé.  Concernant son avenir, Aymeric Caron évoque des projets autour de l'écriture et de la politique. Il a  notamment comme projet de créer un mouvement écologique entouré de plusieurs personnalités. Une chose est sûre, il n'ira pas au Grand Journal, où il était chroniqueur en 2004 aux côtés de Michel Denisot. Selon ce dernier, le programme n'incarne plus les valeurs de Canal +. Il ajoute une couche en déclarant que Le Grand Journal "faillit à sa mission qui consiste à faire émerger des humoristes de talent".

-          La commissaire de Plus Belle La Vie virée de la série

Arrivée il y a quelques mois dans le feuilleton de France 3 pour remplacer Sarah Douala, la comédienne Valentine Atlan, qui incarne le Commissaire Constance Dorléac, aurait été écartée par les producteurs selon les informations du site Télé Loisirs. Le personnage de la série devrait disparaître de l'intrigue après des critiques sur les réseaux sociaux.

-          Robert Ménard traite deux journalistes de "tocards"

Le club de la presse du Languedoc Roussillon a essayé d'organiser une médiation mercredi entre le maire de Béziers, Robert Ménard, et deux journalistes du Midi Libre. Cette rencontre avait pour but de calmer les tensions entre la municipalité et le journal, rapporte le journal Libération. Après une dizaine de minutes d'entretien, l'édile de la ville de Béziers a "chassé" les deux journalistes de "sa" mairie, selon un communiqué de l'association. Il en a profité pour les insulter de "tocards". "Ils ont fait le choix d'être un journal d'opposition, et je ne peux pas leur en vouloir, c'est leur droit. Mais qu'ils ne comptent pas sur moi pour tendre l'autre joue, ça n'est pas mon genre", a affirmé Robert Ménard, qui juge que le journal ment à ses lecteurs.